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Mon journal, commencé le 10 avril 1815

Rossi Henri, Montcalm Armandine de
Date de parution 27/08/2012
EAN: 9782745323545
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La marquise de Montcalm, née de Richelieu, est la sœur du duc de Richelieu qui fut par deux fois Président du Conseil de Louis XVIII, entre 1815 et 1821. Est-ce seulement à ce titre que son Journal, écrit durant le Premier Ministère de son frère, mér... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages368
Langue du livreFrançais
AuteurRossi Henri, Montcalm Armandine de
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution27/08/2012
Poids640 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,40 x 15,50 x 23,50 cm
La marquise de Montcalm, née de Richelieu, est la sœur du duc de Richelieu qui fut par deux fois Président du Conseil de Louis XVIII, entre 1815 et 1821. Est-ce seulement à ce titre que son Journal, écrit durant le Premier Ministère de son frère, mérite aujourd’hui une réédition? Sans doute y a-t-il dans ces pages des analyses très fines sur la situation politique de la France de la Restauration, des informations de toute première main que la marquise n’a pu obtenir que grâce aux relations étroites qu’elle avait chaque jour avec le duc. Sans doute ce Journal trace-t-il un portrait éclairant de l’homme d’État que fut Richelieu. Mais, et fort heureusement pour le plaisir du lecteur, il n’est pas que cela. A la fois témoignage sur le contexte politique, social, culturel et artistique des premières années du règne de Louis XVIII, il est aussi écrit personnel rédigé par une femme qui porte en elle toutes les influences, et parfois les contradictions, de son temps. Esprit éclairé s’il en fut, madame de Montcalm subit l’influence de la sensibilité des dernières années du XVIIIe siècle, celle des idées que la Révolution a instillées dans l’esprit même de l’aristocratie, tout en demeurant fidèle à une certaine éthique nobiliaire d’occultation du Moi, à une vision de la politique et de la société en conformité avec les idéaux de l’Ancien Régime. De ces influences multiples son salon, célèbre dans tout Paris durant les années de la Restauration, porte témoignage et ce sont elles que ces pages font revivre, apportant un jour sans cesse renouvelé sur la pensée d’une grande dame confrontée à des mutations qu’elle tente de comprendre et, surtout, d’accepter.