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Traité de l'infini créé

Terrasson Jean, Del Prete Antonella
Date de parution 26/03/2007
EAN: 9782745314574
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le Traité de l'infini créé est un texte clandestin 'classique' : il a circulé à l'état manuscrit Le Traité de l'infini créé est un texte clandestin 'classique' : il a circulé à l'état manuscrit pendant la première moitié du XVIIIe siècle et il a été ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages368
Langue du livreFrançais
AuteurTerrasson Jean, Del Prete Antonella
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution26/03/2007
Poids500 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,10 x 15,00 x 22,00 cm
Le Traité de l'infini créé est un texte clandestin 'classique' : il a circulé à l'état manuscrit Le Traité de l'infini créé est un texte clandestin 'classique' : il a circulé à l'état manuscrit pendant la première moitié du XVIIIe siècle et il a été imprimé par Marc-Michel Rey en 1769. L'auteur résume ses thèses principales : Descartes, en disant que la matière a une étendue indéfinie et qu'on ne peut avoir une trop haute idée des ouvrages de Dieu, a permis de pousser le raisonnement un peu plus loin. On peut démontrer que le monde est actuellement infini. La première partie du Traité développe la thèse de l'infinité du monde à propos de la matière. La matière est étendue, et l'étendue est infinie : elle ne peut être bornée que par une autre étendue. Il faut aussi entendre cette infinité dans le sens de l'infinie divisibilité de la matière. La deuxième partie est consacrée à l'infinité des esprits. On peut concevoir cette infinité sous deux formes différentes : d'abord, il existe un nombre infini d'esprits; ensuite, chaque esprit est infini parce qu'il est capable d'avoir des idées infinies, comme celles de la matière et de Dieu même. Le début de la troisième partie est consacré à une polémique avec Fontenelle, que l'auteur accuse de n'avoir pas osé pousser ses principes à leurs dernières conséquences : il aurait dû postuler un nombre infini de planètes, et surtout admettre que les habitants des autres planètes sont des hommes. La quatrième partie étend la théorie cartésienne de la naissance et de la mort des tourbillons, en rendant éternelles ces vicissitudes : les configurations particulières changent, mais la matière reste intacte.