Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Autour de "Valérie" - œuvres de Mme de Krüdener

Krüdener Barbara Juliane von, Mercier Michel, Ley Francis, Grecanaâ Elena Pavlovna, Berckheim Juliette von
Date de parution 29/05/2007
EAN: 9782745314093
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Julie de Vietinghoff, baronne de Krüdener (1764 1824), descendante de chevaliers teutoniques et du maréchal de Münnich, adopta dès l'enfance le français comme langue maternelle et pouvait écrire à Mme de Staël : " Je regarde la France comme ma vérita... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCHAMPION
Nombre de pages368
Langue du livreFrançais
AuteurKrüdener Barbara Juliane von, Mercier Michel, Ley Francis, Grecanaâ Elena Pavlovna, Berckheim Juliette von
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution29/05/2007
Poids540 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)20,50 x 15,00 x 22,00 cm
Julie de Vietinghoff, baronne de Krüdener (1764 1824), descendante de chevaliers teutoniques et du maréchal de Münnich, adopta dès l'enfance le français comme langue maternelle et pouvait écrire à Mme de Staël : " Je regarde la France comme ma véritable patrie ". Ses " Pensée et Maximes " furent publiés au Mercure de France en octobre 1802 et introduites fort joliment par ces mots de Chateaubriand : " Quand on pense avec autant de délicatesse, on a raison de choisir, pour s'exprimer, la langue de Sévigné et de La Fayette ". Son roman " Valérie ", qui eut un grand succès, vit le jour en décembre 1803 à Paris. Sainte Beuve le salua, plus tard, dans ses " Portrais de femmes ", d'une formule lapidaire : " Dans cette langue préférée, elle nous envoyait un petit chef-d'œuvre… " et de nos jours encore, Jean Gaulmier pouvait écrire : " Valérie, roman confidence où, avec une sensibilité déjà proustiennne, Mme de Krüdener a magnifié l'étrange et soudaine perfection de la mémoire affective ". Tout cela a été revu et plus complètement explicité par les travaux de Michel Mercier, Francis Ley et Elena Gretchanaïa, qui a retrouvé dans les archives de Moscou les précieux inédits publiés ici pour la première fois.