Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Révoltes et utopies : la contre-culture américaine des années soixante

Robert Frédéric
Date de parution 21/06/2011
EAN: 9782729866716
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
La contre-culture américaine des années soixante oscillait constamment entre révoltes et utopies, deux approches complémentaires, en accordant parfois plus d'importance aux unes qu'aux autres, tout en gardant le même cap et le même objectif, à savoi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurELLIPSES
Nombre de pages336
Langue du livreFrançais
AuteurRobert Frédéric
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution21/06/2011
Poids551 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 16,50 x 24,00 cm
La contre-culture américaine des années soixante oscillait constamment entre révoltes et utopies, deux approches complémentaires, en accordant parfois plus d'importance aux unes qu'aux autres, tout en gardant le même cap et le même objectif, à savoir offrir une autre solution culturelle à un pays englué dans un conformisme culturel indigne d'un territoire aussi divers et varié que les États-Unis. Toute révolte est un soulèvement individuel ou collectif contre un ordre établi que les révoltés considèrent comme étant contraire à leurs idées et idéaux. Il s'agit d'une opposition violente à une contrainte extérieure ou d'un sentiment de refus catégorique mêlé d'indignation, face à une situation bien déterminée et perçue comme étant totalement intolérable. La révolte peut également être motivée par un fort sentiment d'injustice ou par le refus d'obéissance ou d'allégeance à une autorité en place. En raison de son étymologie (revolvere en latin, « revenir en arrière »), la révolte permet de faire marche arrière pour instaurer un système radicalement différent de celui auquel elle s'est attaquée. Ce terme générique englobe plusieurs types de situations allant de la rébellion ou de la mutinerie à l'insurrection. L'utopie, quant à elle, est un néologisme grec, issu à l'origine de l'œuvre en latin de l'écrivain anglais Thomas More, intitulée Utopia (1516). Ce terme, composé de la préposition négative grecque ou et du mot topos « lieu », signifiant « lieu qui n'existe pas », désigne la société idéale que tente de décrire More. « Utopie » n'est d'ailleurs pas sans rappeler une tradition qui remonte à La République de Platon. L'utopie est donc un rêve irréalisable, un meilleur fantasmé, idéalisé, que les contestataires américains des années soixante s'efforçaient malgré tout d'atteindre en instaurant une contre-société idéale.