Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Sexe et texte

Louette jean-fran., Rouffiat Françoise, Louette Jean-François
Date de parution 30/08/2007
EAN: 9782729708023
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les romans et récits érotiques de Georges Bataille, d'où viennent-ils, et où vont-ils ? Que doivent-ils à Freud (le couple d'Éros et Thanatos), ou à Musset (Gamiani, récit d'excès, récit excessif) ? Ont-ils laissé une postérité littéraire ? Est-ce ai... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPU LYON
Nombre de pages256
Langue du livreFrançais
AuteurLouette jean-fran., Rouffiat Françoise, Louette Jean-François
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution30/08/2007
Poids314 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 14,00 x 20,50 cm
Autour de Georges Bataille
Les romans et récits érotiques de Georges Bataille, d'où viennent-ils, et où vont-ils ? Que doivent-ils à Freud (le couple d'Éros et Thanatos), ou à Musset (Gamiani, récit d'excès, récit excessif) ? Ont-ils laissé une postérité littéraire ? Est-ce ainsi — comme une parentèse de Bataille — que l'on doit considérer les oeuvres de Mandiargues, de Bernard Noël, de Denis Roche, ou même de Mishima et de Juan Goytisolo ? De façon plus générale, comment lire les textes qui parlent du sexe ? Albert Thibaudet, dans ses célèbres « Réflexions sur le roman » (1938), soutenait que le plaisir du style ne souffre pas d'être recouvert par un autre, au point que l'interférence entre plaisir de style (représentant) et plaisir de la chair (représenté) produit facilement un déplaisir. Doit-on ainsi choisir ? Soit bien écrire, soit écrire la volupté ? Le lecteur en jugera pour son compte. Mais notre pari est que les textes du sexe, ici étudiés, savent évoquer les plaisirs de la chair sans perdre pour autant ceux du verbe — ou faudrait-il dire... de la langue ?