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Blancs et contre-révolutionnaires en Europe : espaces, reseaux, cultures et memo

Dumons Bruno, Multon Hilaire
Date de parution 15/11/2011
EAN: 9782728309221
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Parmi les voies de « l’histoire sociale du politique », un domaine de recherches s’est développé à partir des concepts de « politisation » et de « cultures politiques ». Celles associées aux couleurs « bleue » et « rouge », s’inspirant des valeurs et... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurECOLE ROME
Nombre de pages421
Langue du livreFrançais
AuteurDumons Bruno, Multon Hilaire
FormatBook
Type de produitLivre
Date de parution15/11/2011
Poids752 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 17,00 x 24,00 cm
ESPACES, RESEAUX, CULTURES ET MEMOIRES (FIN XVIIIE-DEBUT XXE SIECLES) : FRANCE,
Parmi les voies de « l’histoire sociale du politique », un domaine de recherches s’est développé à partir des concepts de « politisation » et de « cultures politiques ». Celles associées aux couleurs « bleue » et « rouge », s’inspirant des valeurs et des modèles issus des gauches républicaine, socialiste et communiste, ont jusque-là beaucoup mobilisé les historiens, délaissant celle qui repose sur les fondements de la catholicité et de la légitimité. Depuis lors, une réflexion d’ensemble est devenue possible sur ces cultures politiques « blanches » qui se déploient durant un long XIXe siècle. L’analyse porte ici sur quatre nations du sud de l’Europe, la France, l’Italie, l’Espagne et le Portugal, largement façonnées par le catholicisme et les principes d’un État monarchique. Après avoir repéré les étapes du développement de cette culture politique enracinée dans le rejet des Lumières et de la Révolution française, cette contribution collective se distingue par une histoire sociale des « blancs » et des contre-révolutionnaires qui s’attache à souligner le rôle des passeurs culturels et des intermédiaires sociaux dans ses circulations européennes. Elle vise également au repérage des territoires qui l’ont abritée, permettant d’identifier ses lieux d’enracinement et de sédimentation à plusieurs échelles. En croisant plusieurs approches, il convenait aussi de préciser l’ancrage de cette culture politique dans des lieux de mémoire, des réseaux sociaux et des pratiques identitaires qui se sont perpétués durablement sur les chemins de l’exil.