Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

C'était notre hymne

Climent Huguet Maria, Fernández Montava Carmen
Date de parution 27/03/2025
EAN: 9782721014016
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Erne, Remei, Marga, une mère et ses deux filles. La premièreest médecin à la retraite, la seconde psychiatre, la benjamine fleuriste. Les deux premières sont grandes, belles, rationnelles et intransigeantes, la dernière se sent laide, en léger surpoi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDES FEMMES
Nombre de pages-
Langue du livreFrançais
AuteurCliment Huguet Maria, Fernández Montava Carmen
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution27/03/2025
Poids253 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 13,00 x 20,00 cm
Erne, Remei, Marga, une mère et ses deux filles. La premièreest médecin à la retraite, la seconde psychiatre, la benjamine fleuriste. Les deux premières sont grandes, belles, rationnelles et intransigeantes, la dernière se sent laide, en léger surpoids, très émotive, socialement fragile. Elles ne se voient pratiquement jamais, surtout depuis que Erne a quitté leur Catalogne natale pour s'installer en Toscane. Un grain de sable dans la vie de Remei les amène à se réunir : elle doit prendre une importante décision qui, pour la première fois de sa vie, ébranle les bases mêmes de son existence si bien réglée et apparemment enviable. C'est le moment où elles vont pouvoir apprendre à se découvrir, blessures comprises, notamment lorsqu'est révélé un secret de famille potentiellement dévastateur dont on comprend à quel point il a marqué la vie des trois femmes.Maria Climent Huguet dépeint cette constellation familialemarquée par le silence et le secret avec autant de finesseque de vivacité, un humour corrosif et une grande tendresse, signant un récit à la fois émouvant et drôle sur le traumatisme et ses conséquences intergénérationnelles, les choix de vie et les liens indéfectibles entre mères et filles.« Et il ne faut pas croire qu'ils se sont séparés, à la maison, mes parents, quand ma mère a arrêté de parler, pas du tout. Mon père était paysan et le fait qu'un jour, arrivant à la maison en fin d'après-midi, il trouve ma mère à la table de la cuisine avec une pancarte qui lui annonçait "j'ai perdu la parole" ne l'a pas fondamentalement perturbé. "J'en ai vu de bien pires", répliquait-il quand il évoquait avec quelqu'un du village de ce qui était arrivé à sa femme. Mais, franchement, je ne sais pas ce qu'il avait dû voir de pire, mon père ; il n'a jamais donné aucun exemple d'une chose pire que celle de ma mère ayant perdu la parole. » M. C. H.