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Waterloo

Demory Jean-Claude
Date de parution 31/03/2025
EAN: 9782717873368
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
En janvier 1814, l’invasion russe, prussienne et autrichienne déferle sur la France. Au terme d’une campagne héroïque de deux mois, cédant au nombre et abandonné de ses maréchaux, l’Empereur, retiré à Fontainebleau avec ce qui reste de l’armée, est c... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurECONOMICA
Nombre de pages256
Langue du livreFrançais
AuteurDemory Jean-Claude
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution31/03/2025
Poids400 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,10 x 15,50 x 24,00 cm
La dernière campagne
En janvier 1814, l’invasion russe, prussienne et autrichienne déferle sur la France. Au terme d’une campagne héroïque de deux mois, cédant au nombre et abandonné de ses maréchaux, l’Empereur, retiré à Fontainebleau avec ce qui reste de l’armée, est contraint à abdiquer le 6 avril.Le 20, il fait ses adieux à la Garde impériale et prend la route vers l’île d’Elbe dont les coalisés lui ont accordé la souveraineté. Mais, bientôt, le temps lui pèse dans son royaume dérisoire. Les nouvelles qui viennent de France lui disent l’impopularité des Bourbons. On le regrette. On espère son retour. Lui-même se sent menacé, les alliés, qu’inquiète sa proximité des côtes françaises, songeant à le déporter dans l’île anglaise de Sainte-Hélène, en plein Atlantique. Louis XVIII ne lui paie pas la pension promise. C’est plus qu’il n’en faut pour le pousser à s’évader. Le 1er mars 1815, il débarque près de Cannes, puis c’est le « Vol de l’Aigle », triomphal jusqu’à Paris. Le maréchal Ney, qui avait promis au roi de ramener l’« ogre corse » dans une cage de fer, se jette dans ses bras. Le 20 mars, Napoléon arrive aux Tuileries que le roi a quittées précipitamment la veille pour la Belgique.Mais vient l’heure des désillusions. L’enthousiasme des Français n’est pas à la hauteur qu’on lui avait décrite. Quand il déclare vouloir la paix, les puissances ne croient pas en ses bonnes intentions et rassemblent une nouvelle coalition. Il va donc falloir de nouveau faire la guerre. Or, mettre sur pied une armée exige deux choses qui font défaut au nouveau maître de la France : l’argent et le temps. Quant aux hommes, tous, ou presque, se sont compromis avec le régime précédent. Il n’a pourtant pas le choix, et va devoir faire avec ce qu’il a sous la main. Mais le doute s’installe ; en lui, et autour de lui. « Son affaire sera faite dans quatre mois », prédit Fouché qui a retrouvé son ministère de la Police. En fait, trois mois, seulement cent jours, suffiront à conduire Napoléon au désastre de Waterloo, tragique apothéose de sa dernière campagne.