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Blenheim, 1704

Pigaillem Henri
Date de parution 25/08/2004
EAN: 9782717848946
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Deux grands capitaines, deux incontestables génies militaires sont à l'origine de l'impressionnante débâcle française de Blenheim : le duc de Marlborough, que seule, malheureusement, la chanson « Malbrough s'en va-t-en guerre » semble avoir rendu cél... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurECONOMICA
Nombre de pages152
Langue du livreFrançais
AuteurPigaillem Henri
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/08/2004
Poids300 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 15,50 x 24,00 cm
Le prince Eugène et Marlborough contre la France
Deux grands capitaines, deux incontestables génies militaires sont à l'origine de l'impressionnante débâcle française de Blenheim : le duc de Marlborough, que seule, malheureusement, la chanson « Malbrough s'en va-t-en guerre » semble avoir rendu célèbre, et le Prince Eugène de Savoie, le vainqueur des Turcs à Zenta et l'un des inoubliables héros de la délivrance de Vienne. Leur parfaite entente, leur savante collaboration ont permis d'avoir raison des deux piètres maréchaux français, Tallard et Marsin, dépêchés par Louis XIV, alors privé, pour son malheur, de Villars et de Vendôme.L'association du Prince Eugène et de Marlborough dans la guerre des Alliés contre la France restera à jamais unique dans l'histoire de l'Europe. Le 13 août 1704, au beau milieu de la campagne bavaroise, dans des charges de cavalerie impétueuses et brillamment calculées, ils culbutent en quelques heures une armée pourtant deux fois plus nombreuse que la leur, massacrant sans relâche les ennemis, mettant en déroute Tallard et Marsin, «la honte de la France», poursuivant et harcelant les milliers de fuyards jusque dans les bourgs voisins. Quant au proche Danube, endossant un rôle impitoyable, il emporte dans son lit les malheureux vaincus qui pensaient pouvoir échapper au carnage. Et à Versailles, quelques jours plus tard, Madame de Maintenon peut dire à son époux de roi : « Sire, vous n'êtes plus invincible ».