Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Les rapports avec autrui dans la philosophie grecque d'Arsitote à Panetius

Voelke André-Jean
Date de parution 01/10/1961
EAN: 9782711641703
Disponibilité En réimpression
La philosophie contemporaine se pique souvent d’avoir mis au jour le “problème d’autrui”, supposant ainsi que la philosophie ancienne n’avait, jusque là, pas décelé que le rapport à autrui était irréductible à tout autre. C’est ce jugement qu’André-J... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages204
Langue du livreFrançais
AuteurVoelke André-Jean
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/10/1961
Poids400 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 13,50 x 20,50 cm
La philosophie contemporaine se pique souvent d’avoir mis au jour le “problème d’autrui”, supposant ainsi que la philosophie ancienne n’avait, jusque là, pas décelé que le rapport à autrui était irréductible à tout autre. C’est ce jugement qu’André-Jean Voelke met à l’épreuve en étudiant sur une longue séquence la philosophie grecque. Dans quelle mesure est-on victime d’une illusion rétrospective, interdisant de percevoir la manière dont les Grecs, d’Aristote à Panétius, ont posé le problème de l’intersubjectivité? Pour répondre à cette question, sans se laisser prendre au piège du perspectivisme historique, l’auteur choisit d’étudier le thème de l’amitié, qui certes trouve ses racines chez les poètes et les tragiques, mais devient un thème commun à Aristote, à Diogène, à Épicure et aux stoïciens.Au fil conducteur de l’amitié, il suit donc pas à pas l’émergence de l’individualisme et de l’universalisme en fonction desquels les doctrines se situent et se spécifient : comment appréhender la singularité d’autrui? De quelle type de connaissance relève-t-elle? Comment se situer par rapport à elle?