Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Discours sur les oracles chaldaïques

Saffrey Henri-Dominique, Saffrey Henri-Dominique, Kroll Wilhelm
Date de parution 04/01/2017
EAN: 9782711627462
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Les Philosophes néoplatoniciens après Plotin du IVe au VIe siècle, en particulier Proclus et Damascius à Athènes, ont fondé leur philosophie de la religion grecque tardive sur un poème des environs de l’an 200 qui leur était présenté comme une suite ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages140
Langue du livreFrançais
AuteurSaffrey Henri-Dominique, Saffrey Henri-Dominique, Kroll Wilhelm
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution04/01/2017
Poids308 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 16,00 x 24,00 cm
Les Philosophes néoplatoniciens après Plotin du IVe au VIe siècle, en particulier Proclus et Damascius à Athènes, ont fondé leur philosophie de la religion grecque tardive sur un poème des environs de l’an 200 qui leur était présenté comme une suite d’Oracles venant de sages Chaldéens. Puisque l’on y entendait la parole des dieux, c’était pour ces philosophes néoplatoniciens comme une Bible. Ce poème est malheureusement perdu, mais grâce aux nombreuses citations faites par ces auteurs, on peut tenter d’en retrouver des morceaux et, en les rassemblant, de les expliquer. C’est ce travail d’une extrême difficulté que s’est proposé Wilhelm Kroll en 1894 (il avait 25 ans!), sous la forme d’une thèse pour l’Université de Breslau. L’usage universitaire de cette époque voulait que cette thèse fût rédigée et soutenue en latin. Le latin étant devenu une langue peu compréhensible de nos jours, on a jugé utile de traduire du latin en français ce Discours sur les Oracles Chaldaïques. La reconstitution de Kroll est un travail remarquable auquel il est toujours indispensable de retourner. On s’est seulement appliqué à moderniser les références aux textes cités dont on a aujourd’hui de bonnes éditions critiques qui n’existaient pas du temps de Kroll.