Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Le livre du sage

Bovelles Charles de, Magnard Pierre
Date de parution 09/03/2010
EAN: 9782711622528
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’esprit rêvait, le monde était son rêve. « Comme un dieu en la terre », l’homme de la Seconde Renaissance rivalisait de ses prouesses techniques avec le Créateur. Vinci, au Clos Lucé, témoignait, en ses derniers feux, de cette inventivité. Manquait ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages216
Langue du livreFrançais
AuteurBovelles Charles de, Magnard Pierre
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution09/03/2010
Poids210 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 11,00 x 18,00 cm
L’esprit rêvait, le monde était son rêve. « Comme un dieu en la terre », l’homme de la Seconde Renaissance rivalisait de ses prouesses techniques avec le Créateur. Vinci, au Clos Lucé, témoignait, en ses derniers feux, de cette inventivité. Manquait encore un philosophe capable de rendre raison de cette audace prométhéenne. Ce fut Bovelles. Le rationalisme naissant pose la convertibilité du rationnel et du réel. Esprit et Nature, figures en miroir, s’entrexpriment de part et d’autre du diaphane, en lequel subsiste cette matière tutélaire qui les empêche de se confondre. La tentation idéaliste conjurée, la pensée est en mal de justification. Comment la mens humana pourrait-elle se saisir de la « raison propre » des choses? En faire une simple approximation de la mens divina ne satisfait pas Bovelles, qui tente une « déduction transcendantale » avant la lettre des catégories de l’entendement. Par un déplacement de chaque chose, sise en son lieu, au « lieu de nulle chose », Bovelles ouvre le champ de la représentation, qu’il ne centre sur le sujet pensant que pour ordonner ce dernier au premier principe de toutes choses. Ne s’agit-il pas de voir le monde de l’œil même de Dieu?