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Des choses divines et de leur révélation

Jacobi Friedrich Heinrich, Cerutti Patrick
Date de parution 18/11/2008
EAN: 9782711621408
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Des choses divines et de leur révélation est le testament philosophique de son auteur, Friedrich Heinrich Jacobi. La première évaluation d’ensemble du postkantisme et des grands systèmes idéalistes qu’il y propose détermine encore l’image que nous po... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages256
Langue du livreFrançais
AuteurJacobi Friedrich Heinrich, Cerutti Patrick
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/11/2008
Poids310 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 13,50 x 21,50 cm
Des choses divines et de leur révélation est le testament philosophique de son auteur, Friedrich Heinrich Jacobi. La première évaluation d’ensemble du postkantisme et des grands systèmes idéalistes qu’il y propose détermine encore l’image que nous pouvons nous faire de la philosophie classique allemande. La querelle qu’elle a déclenchée et la réponse outrancière que lui a apportée Schelling, blessé par la critique du naturalisme que développe la deuxième partie de l’ouvrage, en font le document le plus précieux dont nous disposions pour interpréter les débats qui, durant les premières décennies du XIXe siècle, ont mis aux prises la philosophie de la religion et la théologie spéculative. La discussion des rapports du réalisme et de l’idéalisme religieux, de la révélation de la raison et de la doctrine positive que Jacobi développe d’abord en réponse à Matthias Claudius, puis lors d’un dialogue avec Friedrich Schlegel, non seulement éclaire cette lecture de l’histoire de la philosophie à l’heure de l’avènement du nihilisme, mais permet aussi de comprendre ce que l’auteur entend par ce « vrai rationalisme » qu’il oppose aux philosophes de son temps. Elle donne ainsi à celui qui fut l’un des pères de l’idéalisme allemand en même temps que son critique le plus acerbe l’occasion de préciser une dernière fois les rapports de la raison et de l’entendement, question qu’avec Kant, il fut l’un des premiers à poser à la pensée moderne.