Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Cet esprit de profondeur

Paccioni Jean-Paul
Date de parution 19/06/2006
EAN: 9782711618491
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’éloge qu’adresse Kant au « Geist der Gründlichkeit » de Christian Wolff est resté célèbre, mais comme une anecdote. Il engage pourtant l’approche de la métaphysique en tant que système traité de manière scientifique. Le sens de la philosophie moder... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages240
Langue du livreFrançais
AuteurPaccioni Jean-Paul
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution19/06/2006
Poids350 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,40 x 13,50 x 21,50 cm
Christian Wolff, l'ontologie et la métaphysique
L’éloge qu’adresse Kant au « Geist der Gründlichkeit » de Christian Wolff est resté célèbre, mais comme une anecdote. Il engage pourtant l’approche de la métaphysique en tant que système traité de manière scientifique. Le sens de la philosophie moderne s’y joue, tel qu’il sera repris et discuté de l’idéalisme allemand jusqu’à Husserl et Heidegger.En partant d’une analyse de cet éloge, et de son articulation au « problème général de la raison pure », cet ouvrage étudie comment la question du fondement est à l’œuvre dans la métaphysique wolffienne. La Gründlichkeit y est comprise comme une solidité, dont les exigences engagent ce qui conjoint le projet de mathesis universalis et les œuvres de la néo-scolastique. Les premiers chapitres étudient la formation de ce projet, en montrant ce qu’a de trompeur la notion de philosophie « leibniziano-wolffienne ». Les chapitres suivants montrent alors comment les sciences composant la métaphysique de Wolff reprennent la notion suarézienne d’essence réelle, en faisant jouer un rôle central au « mariage de la raison et de l’expérience ». Cela conduit à nuancer les lectures de cette métaphysique, en refusant d’y voir d’emblée une « ontothéologie » au sens kantien.