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Sur le ciel [Ennéade II, 1, (40)]

Plotin, Dufour Richard, Dufour Richard
Date de parution 04/06/2003
EAN: 9782711615940
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’histoire de la philosophie a toujours vu en Plotin un métaphysicien. Porphyre ne dit-il pas de son maître qu’il connaissait parfaitement la géométrie, l’arithmétique, la mécanique, l’optique et la musique, mais qu’il n’était pas enclin à approfondi... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages192
Langue du livreFrançais
AuteurPlotin, Dufour Richard, Dufour Richard
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution04/06/2003
Poids350 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 13,50 x 21,50 cm
L’histoire de la philosophie a toujours vu en Plotin un métaphysicien. Porphyre ne dit-il pas de son maître qu’il connaissait parfaitement la géométrie, l’arithmétique, la mécanique, l’optique et la musique, mais qu’il n’était pas enclin à approfondir davantage ces disciplines? Ce peu de goût pour les mathématiques et la physique n’a pourtant pas empêché Plotin de rédiger quelques traités exclusivement connsacrés à des questions de physique et de cosmologie, traités qui furent les grands oubliés des études néioplatoniciennes. Parmi ceux-ci, le traité Sur le ciel est d’une importance capitale aussi bien en raison du sujet qu’il aborde que du débat philosophique qu’il engage avec la tradition. La vision plotinienne du monde et du ciel doit en effet trouver sa place au sein des théories cosmologiques dominantes de son époque : celles transmises par le Timée de Platon, le De Caelo d’Aristote et la vision stoïcienne de l’univers.Il va sans dire que Plotin se veut un exégète des doctrines platoniciennes, mais le présent traité montre peut-être plus que tout autre la difficile cohabitation de l’indépendance d’esprit et de la fidélité aux textes du maître. Ce qui se présente comme une exégèse du Timée devient en fait une « trahison » des enseignements qui y sont contenus. Le traité II, 1 [40] fût le théâtre d’une rébellion, celle d’un interprète platonicinen qui tente de lire dans le Timée une théorie qui ne s’y trouve pas.