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Platon source des présocratiques

Brancacci Aldo, Dixsaut Monique, Brancacci Aldo, Brisson Luc, Casertano Giovanni, Cordero Nestor-Luis, Dixsaut Monique, Morel Pierre-Marie, Pepe Lucio, Aronadio Fransceco, Ayache Laurent
Date de parution 06/01/2003
EAN: 9782711615827
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le thème de ce volume est doublement discutable et doublement provocant.Tout d’abord l’ensemble s’appuie sur une catégorie historio-graphique propre au vingtième siècle, celle de « présocratique », arbitraire en elle-même comme dans ses choix et les ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages240
Langue du livreFrançais
AuteurBrancacci Aldo, Dixsaut Monique, Brancacci Aldo, Brisson Luc, Casertano Giovanni, Cordero Nestor-Luis, Dixsaut Monique, Morel Pierre-Marie, Pepe Lucio, Aronadio Fransceco, Ayache Laurent
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/01/2003
Poids370 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,40 x 13,50 x 21,50 cm
Exploration
Le thème de ce volume est doublement discutable et doublement provocant.Tout d’abord l’ensemble s’appuie sur une catégorie historio-graphique propre au vingtième siècle, celle de « présocratique », arbitraire en elle-même comme dans ses choix et les exclusions qu’elle impose. Mais par cet hommage rendu à une philologie capable de créer ce que la philologie actuelle ne saurait probablement pas créer : un concpet riched’implications et de problèmes philosophiques, les auteurs ont souhaité rappeler que, s’agissant des penseurs de l’Antiquité, il était impossible et surtout ruineux pour l’une comme pour l’autre de dissocier recherche philologique et réflexion philosophique.Ensuite, considérer Platon comme une source possible de la connaissance des penseurs qui l’ont précédé constitue à coup sûr un paradoxe. Platon n’est ni un historien de la philosophie, ni un doxographe. Son propos n’est jamais d’exposer des doctrines mais de les reconstruire pour en faire des thèses à discuter, critiquer, parfois reprendre. Si Platon n’a donc littéralement pas de prédécesseurs, seulement des interlocuteurs qu’il interroge « comme s’ils étaient là en personne », comment l’historien pourrait-il se fier à cette parole constamment en dialogue avec d’autres paroles mais si peu soucieuse d’exactitude et de rigueur historique?