Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Gilles Deleuze

Verstraeten Pierre, Stengers Isabelle, Bergen Véronique, Chabot Pascal, Franco Daniel, Stengers Isabelle, Verstraeten Pierre, François Alain, Ginoux Isabelle, Martinez Fransico José, Massumi Brian, Pardo José Luis
Date de parution 01/12/1998
EAN: 9782711613649
Disponibilité En réimpression
De toujours le philosophe a eu un rapport spécifique à la mort, puisqu’il lui faut bien mourir à la banalité quotidienne pour être capable d’y déceler la faille ou la fracture où est susceptible de s’inscrire la pensée. Quand il se trouve que ce que ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages192
Langue du livreFrançais
AuteurVerstraeten Pierre, Stengers Isabelle, Bergen Véronique, Chabot Pascal, Franco Daniel, Stengers Isabelle, Verstraeten Pierre, François Alain, Ginoux Isabelle, Martinez Fransico José, Massumi Brian, Pardo José Luis
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/12/1998
Poids250 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 13,50 x 21,50 cm
De toujours le philosophe a eu un rapport spécifique à la mort, puisqu’il lui faut bien mourir à la banalité quotidienne pour être capable d’y déceler la faille ou la fracture où est susceptible de s’inscrire la pensée. Quand il se trouve que ce que pense le philosophe en question, c’est avant tout la vie, on peut supposer que vie et mort entretiendront, dans l’œuvre et dans l’expérience, un rapport peu ordinaire. Et Sartre et Deleuze se rejoignent sans doute en ce point énigmatique où « l’Amor fati ne fait qu’un avec le combat des hommes libres », en ce point où il faut jouer même si les jeux sont faits, vivre encore alors même qu’on est déjà mort. Ainsi fait sens l’envol imaginaire de l’épuisé dépourvu de tout possible.