Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Abrégé de grammaire hébraïque

Spinoza Baruch de, Askénazi Joël, Askénazi-Gerson Jocelyne
Date de parution 01/01/2001
EAN: 9782711606887
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L’Abrégé de Grammaire hébraïque paraît dans son ensemble, étranger aux problèmes dont l’étude à fait de Spinoza un grand philosophe. Mais Spinoza y a travaillé, l’a rédigé, et, à sa mort, l’a laissé avec d’autres manuscrits à Louis Meyer. Et les édit... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages244
Langue du livreFrançais
AuteurSpinoza Baruch de, Askénazi Joël, Askénazi-Gerson Jocelyne
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/01/2001
Poids400 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,40 x 13,50 x 21,50 cm
L’Abrégé de Grammaire hébraïque paraît dans son ensemble, étranger aux problèmes dont l’étude à fait de Spinoza un grand philosophe. Mais Spinoza y a travaillé, l’a rédigé, et, à sa mort, l’a laissé avec d’autres manuscrits à Louis Meyer. Et les éditeurs de 1677, qui connaissaient bien Spinoza puisqu’ils étaient ses amis, n’ont pas hésité à le publier en même temps que l’Éthique et le Traité de la Réforme de l’entendement. Il n’est donc pas permis à un historien des idées s’efforçanr de comprendre la philosophie de Spinoza de négliger un tel ouvrage. À une époque où, pour éclairer la pensée d’un auteur, on va parfois chercher ses moindres brouillons, comment un Traité, non achevé sans doute, mais mis en forme jusqu’au trente-troisième chapitre pourrait-il demeurer inconnu de presque tous?À vrai dire, cela serait d’autant plus regrettable que l’on attache aujourd’hui, avec raison, la plus grande importance au rapport de la philosophie de Spinoza et de la tradition juive. Comment alors ne pas s’interroger sur ce que Spinoza a pensé de la langue dans laquelle cette tradition lui a été transmise? D’autre part, les philosophes contemporains accordent de plus en plus d’intérêt au problème du langage. Est-il possible de négliger les pages que Spinoza a consacrées à un tel sujet?(Extrait de la Préface de F. Alquié à la première édition)