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La société de masse et sa culture

Gilson Étienne
Date de parution 01/07/1986
EAN: 9782711602933
Disponibilité En réimpression
Les études réunies dans ce volume ont été originellement publiées sous le titre général L ’industrialisation des arts du beau, et parachèvent la réfléxion esthétique d’Étienne Gilson, inaugurée dans l’Introduction aux arts du beau, et poursuivie dan... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurVRIN
Nombre de pages152
Langue du livreFrançais
AuteurGilson Étienne
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution01/07/1986
Poids250 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 13,50 x 20,50 cm
Les études réunies dans ce volume ont été originellement publiées sous le titre général L ’industrialisation des arts du beau, et parachèvent la réfléxion esthétique d’Étienne Gilson, inaugurée dans l’Introduction aux arts du beau, et poursuivie dans Peinture et réalité ou encore Matières et formes . Reprenant l’ordre de réflexion de ce dernier ouvrage (les arts plastiques, la musique, la littérature), l’auteur – non sans rappeler certaines analyses des penseurs de l’école de Francfort – donne ici à penser en quoi l’infinie reproduction technique et industrielle d’une oeuvre d’art modifie non seulement l’expérience esthétique dont elle est l’objet, mais aussi la culture dans laquelle cette reproduction massive prend place. Mettant ainsi en perspective les notions de culture de masse et d’industrialisation, Étienne Gilson les différencie au sein d’une relation complexe, où l’industrialisation des produits culturels n’est que le moyen de créer une culture de masse, dont elle devient à la fois la cause et l’effet. Il devient alors possible de s’interroger sur le sens des « beaux-arts de masse » au sein de cette culture, ainsi que sur le rapport qu’entretient l’oeuvre originale avec ses reproductions industrielles.C’est enfin au cas de l’Église catholique post-conciliaire et à ses efforts de « massification » que s’étend la réflexion, s’ouvrant ainsi par-delà le domaine des beaux-arts à la notion de société de masse dans toute son ampleur.