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César, de Jacques Grévin

Grévin Jacques, Foster Jeffrey
Date de parution 10/10/2005
EAN: 9782707803351
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Jacques Grévin (1538-1570), médecin et poète français né à Clermont-en-Beauvaisis dans le département actuel de l'Oise, est surtout célèbre pour son œuvre théâtrale. Il fut, à la suite immédiate d'Étienne Jodelle et de Théodore de Bèze, l'un des prem... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurNIZET
Nombre de pages158
Langue du livreFrançais
AuteurGrévin Jacques, Foster Jeffrey
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution10/10/2005
Poids150 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,80 x 14,00 x 19,00 cm
édition critique avec introduction et des notes
Jacques Grévin (1538-1570), médecin et poète français né à Clermont-en-Beauvaisis dans le département actuel de l'Oise, est surtout célèbre pour son œuvre théâtrale. Il fut, à la suite immédiate d'Étienne Jodelle et de Théodore de Bèze, l'un des premiers tragédiens de langue française. Son César, de 1561, ici présenté dans une édition érudite, savamment commentée, est considéré comme la meilleure pièce de Grévin. Le lecteur sera non seulement frappé par la rigueur de la composition (la cohérence de la versification est remarquable), mais aussi par la vigueur, l'élan d'un style qui, dans ses périodes déclamatoires les plus réussies, annonce Racine ou Corneille. On trouvera ici, à la suite du César, la pièce JuliusCaesar, écrite en latin par Marc-Antoine Muret, qui fut le précepteur de Grévin. On s'en doute, les comparaisons entre les deux œuvres n'ont pas manqué, souvent dans l'intention maligne de rabaisser Grévin au rang de plagiaire. Jeffrey Foster, qui a très minutieusement analysé les textes, conclut qu'en réalité Grévin s'est surtout inspiré de la composition de Muret, se singularisant tout à fait dans les autres registres. L'honnêteté de Grévin s'en trouve confortée, lui qui écrit dans un "brief discours" préliminaire: "là ou [les deux tragédies] seront confrontées, on trouvera la vérité. Je ne veux pourtant nier que s'il se trouve quelque traict digne d'estre loué, qu'il ne soit de Muret, lequel a esté mon precepteur quelque temps es lettres humaines, et auquel je donne le meilleur, comme l'ayant appris de luy."