Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Documents Stéphane Mallarmé II

Mallarmé Stéphane, Barbier Carl Paul
Date de parution 10/10/2005
EAN: 9782707801982
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce second tome des Documents Stéphane Mallarmé révèle le poète, le traducteur et surtout l'épistolier. A la nue accablante tu, écrit en 1887 ou 1888 et publié en 1895, est l'une des compositions les plus difficiles de Mallarmé. Ce sonnet a beaucoup a... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurNIZET
Nombre de pages288
Langue du livreFrançais
AuteurMallarmé Stéphane, Barbier Carl Paul
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution10/10/2005
Poids346 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 14,00 x 23,00 cm
Ce second tome des Documents Stéphane Mallarmé révèle le poète, le traducteur et surtout l'épistolier. A la nue accablante tu, écrit en 1887 ou 1888 et publié en 1895, est l'une des compositions les plus difficiles de Mallarmé. Ce sonnet a beaucoup alimenté la polémique d'alors concernant la poésie des symbolistes en général, et celle de Mallarmé en particulier. Quelques précisions relatives à l'historique de la publication du poème controversé sont ici données. Mallarmé, on le sait, a traduit plusieurs poètes anglo-saxons, notamment Edgar Allan Poe. La traduction qu'il donna de la célèbre Godiva, poème d'Alfred Tennyson (1809-1892), resta inédite jusqu'en 1970...Le brouillon de cette traduction, méticuleusement reproduit par Carl Paul Barbier, est donc bien précieux. Mais ce tome laisse la part belle à l'épistolier. On trouvera d'abord la correspondance (souvent pittoresque) avec Robert de Montesquiou, s'étalant sur vingt années, puis le "morceau de choix" : les lettres, si pleines d'affections, de charme (un ronronnement de chat) entre Mallarmé et "ses Dames", sa femme et sa fille Geneviève. Échanges d'autant plus touchants qu'ils occupent les deux dernières années de la vie du poète. Une quinzaine de jours avant sa mort, le "Papa" écrit à sa fille : "Un orage, que nous eussions retenu à pleins bras, a passé sur le pays (...) le travail de l'après-midi a fondu"...