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La résistance africaine à la romanisation

Christol Michel, Benabou Marcel
Date de parution 30/05/2005
EAN: 9782707146922
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
À travers l'étude de la résistance à la romanisation, c'est une vision renouvelée d'un épisode capital de l'histoire africaine que cet ouvrage tente de présenter : une vision qui remette enfin la population indigène de l'Afrique romaine –; négligée o... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLA DECOUVERTE
Nombre de pages634
Langue du livreFrançais
AuteurChristol Michel, Benabou Marcel
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution30/05/2005
Poids656 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)4,10 x 13,80 x 22,20 cm
À travers l'étude de la résistance à la romanisation, c'est une vision renouvelée d'un épisode capital de l'histoire africaine que cet ouvrage tente de présenter : une vision qui remette enfin la population indigène de l'Afrique romaine –; négligée ou ignorée par une documentation partiale et lacunaire –; au centre de sa propre histoire. Succès ou échec de Rome en Afrique du Nord ? Vieux et vain débat qui oppose encore chantres et détracteurs de la romanisation. Le présent livre - devenu un classique depuis sa publication en 1976 - est né du désir de rompre avec cette problématique surannée. À travers l'étude de la résistance à la romanisation, c'est une vision renouvelée d'un épisode capital de l'histoire africaine qu'il tente de présenter : une vision qui remette enfin la population indigène de l'Afrique romaine –; négligée ou ignorée par une documentation partiale et lacunaire –; au centre de sa propre histoire. La notion de résistance joue donc ici le rôle de concept unificateur. Elle permet de regrouper en un ensemble cohérent les diverses formes de la réaction africaine à la présence romaine, depuis le soulèvement contre une occupation étrangère jusqu'au refus, total ou partiel, d'une culture importée. D'où la multiplicité des sujets abordés dans l'ouvrage. La première partie, consacrée aux problèmes militaires, analyse les causes des révoltes indigènes et les raisons de leur relative inefficacité. La seconde partie s'efforce de prendre la mesure exacte de l'héritage africain et de l'apport romain dans les domaines de la religion, de l'organisation sociale et administrative, du langage et de l'onomastique. Au terme de ces analyses apparaît la singularité du destin de l'Afrique romaine, fait d'une multitude d'histoires partielles –; croisées ou parallèles.