Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Les archives d'Atta-Welgimmaš

Roche-Hawley Carole, Malbran-Labat Florence
Date de parution 17/05/2019
EAN: 9782701805580
Disponibilité Manque temporaire
Florence Malbran-Labat et Carole Roche-Hawley présentent de manière aussi complète que possible les tablettes dites «?de Mâlamir?», en donnant une édition critique des textes, avec transcription, photographie, traduction de l’akkadien et commentaire.... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDE BOCCARD
Nombre de pages152
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurRoche-Hawley Carole, Malbran-Labat Florence
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution17/05/2019
Poids300 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 16,00 x 24,00 cm
Les textes dits « de Mâlamir »
Florence Malbran-Labat et Carole Roche-Hawley présentent de manière aussi complète que possible les tablettes dites «?de Mâlamir?», en donnant une édition critique des textes, avec transcription, photographie, traduction de l’akkadien et commentaire. L’édition est enrichie d’une analyse paléographique et d’une enquête prosopographique —?notamment des scribes?—, fondée sur l’examen des «?signatures?» et des formulaires. Le corpus, constitué de seize documents, comprend des actes de partage, de cession ou restitution de ventes immobilières, ainsi que des bordereaux de comptabilité et des comptes rendus de procès. Initialement publié par le Vincent Scheil en 1902, ce dernier l’a repris en 1930 en l’augmentant de textes juridiques exhumés par la délégation archéologique française à Suse. Les tablettes dites « de Mâlamir » n’ont pas une origine assurée, on peut arguer qu’elles proviennent selon toute vraisemblance de l’ancienne Huhnuri, moderne Tepe Bormi. Le lot est homogène, constitué d’actes documentant l’activité d’un certain Atta-Welgimmaš et d’une femme qui lui est associée à plusieurs reprises ; l’un comme l’autre sont uniquement connus pour l’acquisition de terres, palmeraies et vergers, ainsi que par leur gestion de ces derniers. Le serment prêté lors de la rédaction des actes au nom d’un souverain kidinuide permet de dater avec précision le corpus de la seconde moitié du XVe siècle, alors que la très grande partie de la documentation juridique élamite publiée jusqu’ici relève de l’empire des SUKKALMAH, antérieur à la dynastique des kidiides.