Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

La philosophie naturelle en langue française

Giacomotto-Charra Violaine
Date de parution 03/03/2020
EAN: 9782600019699
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Surtout connu pour ses ouvrages d’histoire, le juriste condomois Scipion Dupleix fut aussi l’un des tout premiers à écrire en français un corpus complet de philosophie scolastique. Dans les années 1600-1610, il publia un ensemble de textes couvrant l... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDROZ
Nombre de pages608
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurGiacomotto-Charra Violaine
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution03/03/2020
Poids1250 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)-
Des premiers textes à l’œuvre de Scipion Dupleix
Surtout connu pour ses ouvrages d’histoire, le juriste condomois Scipion Dupleix fut aussi l’un des tout premiers à écrire en français un corpus complet de philosophie scolastique. Dans les années 1600-1610, il publia un ensemble de textes couvrant la logique, la philosophie naturelle, l’éthique et la métaphysique, qui connut en son temps un immense succès sous le nom de Corps ou de Cours de philosophie. Notre ouvrage analyse le travail de vulgarisateur de Dupleix, en se fondant plus particulièrement sur les textes traitant de philosophie naturelle. Il examine le statut et la place de cette discipline dans les milieux lettrés, l’adaptation de la langue française à la philosophie jusque-là exprimée en latin, les raisons qui ont pu pousser un jeune magistrat de province à entreprendre une vaste entreprise de diffusion philosophique et le détail du travail du texte, pour tenter de cerner les raisons d’écrire la philosophie en langue française à la toute fin de la Renaissance.