Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

Les mains de ma grand-mère - Guérir nos coeurs et nos corps du trauma racial

Menakem Resmaa
Date de parution 12/11/2024
EAN: 9782494629141
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Bien que j’aie d’abord écrit Les Mains de ma Grand-Mère pour des lecteurs américains, le trauma racial blesse les corps un peu partout dans le monde. » Dans ce livre, dont le titre évoque la grand-mère de l’auteur, une Africaine-Américaine ayant tr... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurQUANTUM WAY
Nombre de pages380
Langue du livreFrançais
AuteurMenakem Resmaa
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution12/11/2024
Poids505 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 14,50 x 22,50 cm
« Bien que j’aie d’abord écrit Les Mains de ma Grand-Mère pour des lecteurs américains, le trauma racial blesse les corps un peu partout dans le monde. » Dans ce livre, dont le titre évoque la grand-mère de l’auteur, une Africaine-Américaine ayant travaillé dès l’âge de 4 ans dans des champs de coton, Resmaa Menaken nous propose une voie de guérison du trauma racial, totalement novatrice. Au travers d’exercices corporels simples et concrets, il permet de revisiter notre histoire collective et à chacun de partir à la découverte de ses traumas hérités, de reposer les ponts de la relation entre tous les humains, quelles que soient leur histoire et leur couleur de peau. Resmaa Menaken apporte des clés, serties de bienveillance, de guérison, d’espoir et de commune humanité à tous ceux qui se sentent concernés par le racisme qui imprègne nos sociétés, ceux qui le vivent dans leur chair au quotidien comme ceux qui ont peur de le perpétuer. Ce livre événement et essentiel, écrit dans l’urgence de l’histoire contemporaine des Etats-Unis, trace une nouvelle voie aux générations futures, parce que « les enfants n’ont jamais été très doués pour écouter leurs aînés, mais ils n’ont jamais manqué de les imiter » (James Baldwin).