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Paul Ledoux, peintre alsacien engagé volontaire dans l'armée française

Grandhomme Jean-Noël, Ledoux François
Date de parution 26/02/2024
EAN: 9782493323637
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Août 1914, la guerre est déclarée. Paul Ledoux, artiste peintre alsacien, se trouve à Paris avec son épouse Élise et leur jeune fils Guy. Bien que de nationalité allemande, comme tous les Alsaciens à la suite du traité de Francfort en 1871, il s’enga... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurPU RHIN DANUBE
Nombre de pages396
Langue du livreFrançais
AuteurGrandhomme Jean-Noël, Ledoux François
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution26/02/2024
Poids710 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,70 x 16,00 x 24,00 cm
Carnets et correspondance de guerre (1914-1918)
Août 1914, la guerre est déclarée. Paul Ledoux, artiste peintre alsacien, se trouve à Paris avec son épouse Élise et leur jeune fils Guy. Bien que de nationalité allemande, comme tous les Alsaciens à la suite du traité de Francfort en 1871, il s’engage dans l’armée française alors que quatre de ses frères, vivant en Alsace, sont enrôlés dans l’armée allemande.Pendant quatre ans, dans ses carnets et sa correspondance, il relate sa vie de Poilu au fil des évènements de la guerre et de ses affectations successives : simple soldat au 113e régiment d’infanterie en Argonne, puis dessinateur et secrétaire au poste de commandement de la 3e armée, interprète, versé aux services de Télégraphie et du Renseignement, ainsi qu’à la protection des œuvres d’art.Tout au long du conflit, il représente avec talent les réalités de la Grande Guerre, par ses nombreux dessins, gravures, aquarelles dont certains illustrent cet ouvrage.Quand les hostilités prennent fin, Paul Ledoux est titulaire de la croix de guerre avec le grade de sergent. Cet Alsacien patriote, homme d’art et de foi, père de deux enfants – dont une fille née durant le conflit – peut alors retrouver sa famille, notamment ses frères qui portaient l’autre uniforme – l’un manquant à l’appel –, et sa province redevenue française.