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LE POIGNARD DE GOYA

BERTHOU Serge
Date de parution 11/10/2021
EAN: 9782491689490
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Préfacé par David CHANTERANNE, historien et historien de l’art, diplômé et chargé de cours à l’université de Paris-Sorbonne, journaliste et écrivain, rédacteur en chef du magazine Napoléon 1er.Synopsis Mai 1808 : Après les émeutes de Madrid et la ré... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurIL EST MIDI
Nombre de pages268
Langue du livreFrançais
AuteurBERTHOU Serge
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution11/10/2021
Poids467 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,60 x 15,20 x 22,90 cm
Préfacé par David CHANTERANNE, historien et historien de l’art, diplômé et chargé de cours à l’université de Paris-Sorbonne, journaliste et écrivain, rédacteur en chef du magazine Napoléon 1er.Synopsis Mai 1808 : Après les émeutes de Madrid et la répression sanglante de «El Tres de Mayo» les troupes du général Dupont de l’Etang descendent vers l’Andalousie. C’est un chemin semé d’embûches, d’escarmouches, de guet-apens qui les attend. Le danger peut surgir derrière chaque rocher, derrière chaque arbre. Mobilisé contre l’envahisseur le peuple espagnol se défend en inaugurant un nouveau type de combat : la guérilla.Se met en place l’engrenage inévitable : les exactions entrainent des représailles – maisons incendiées, fusillades sommaires. Un cran supplémentaire dans la férocité est franchi au fur et à mesure de l’avancée des troupes napoléoniennes… Les soldats isolés sont une proie pour les navajas, une cible pour les «cuadrillas». La traversée des sierras par des défilés bordés de précipices, l’attaque des convois, le soulèvement du moindre village, l’impossibilité de s’approvisionner vont faire de ce parcours un véritable enfer.Dans ce flot de quelques milliers de combattants, noyées parmi les fantassins, les cavaliers et les pièces d’artillerie, des femmes essaient de survivre : maîtresses, épouses d’officiers, blanchisseuses ou cantinières. L’une d’elles, ballotée de régiment en régiment, -malgré les affres liées à la peur, à la faim, à la soif, aux maladies de peau, aux angoisses du lendemain - gardera intacte son envie de vivre une passion amoureuse : celle qu’elle éprouve pour un lieutenant des marins de la Garde. Elle fera tout pour que leurs chemins se croisent, acceptant de faire partie d’expéditions périlleuses dans le seul but de le retrouver, avec le secret espoir que lorsque tout cela sera fini, elle rebâtira avec lui une vie normale, aura un foyer, des enfants…Le trajet sera ponctué de cadavres : un général plongé dans l’huile d’olive bouillante, sa femme et sa fille découpée en morceaux, ses compagnons sciés vivants entre des planches… Ces atrocités sont le fait d’un peintre- élève de Goya. Son entourage ayant été touché par la sauvagerie des troupes napoléoniennes, Il a juré que ses ennemis afficheraient sur leurs visages avant de mourir ce qu’il veut cristalliser dans ses dessins ou ses tableaux : la peur! La frayeur est-elle matérialisable dans une œuvre d’art ? Est-ce que des abominations peuvent constituer les ingrédients d’une inspiration artistique? Interrogations auxquelles répondra, plus tard, Francisco de Goya, dans «Les désastres de la guerre.»