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LE FC METZ ET LA SIDÉRURGIE

BREUIL XAVIER
Date de parution 16/12/2024
EAN: 9782491068899
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Des relations entre le FC Metz et la sidérurgie, la mémoire collective a surtout retenu le sponsoring de la Sollac puis d’Arcelor entre 1984 et 2007. Ce livre y consacre une large part en s’appuyant sur des documents historiques conservés par Arcelor... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurJALON
Nombre de pages188
Langue du livreFrançais
AuteurBREUIL XAVIER
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution16/12/2024
Poids500 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 15,60 x 23,40 cm
DE LA RIVALITÉ SPORTIVE AU SPONSORING (1932–2007)
Des relations entre le FC Metz et la sidérurgie, la mémoire collective a surtout retenu le sponsoring de la Sollac puis d’Arcelor entre 1984 et 2007. Ce livre y consacre une large part en s’appuyant sur des documents historiques conservés par Arcelor Mittal et versés au centre des archives industrielles et techniques de la Moselle. Il explore ainsi différentes facettes de ce partenariat : coût financier pour la Sollac, organisation de tournée du FC Metz en Asie et de matches en Europe, production et commercialisation de boîtes de bière, intervention de la Sollac dans la rénovation du stade Saint-Symphorien, nature des relations entre le président du FC Metz et les patrons de la sidérurgie, etc…Mais les interactions entre le club messin et le monde de la sidérurgie furent multiformes et étaient visibles bien avant 1984. Nourri par la presse régionale et sportive ainsi que sur différents fonds d’archives (Archives nationales, Archives nationales du monde du travail, Archives municipales de Metz, Thionville et Longwy), cet ouvrage revient aussi sur les relations ambiguës nées au lendemain de l’implantation du football professionnel à Metz en 1932. En effet, cet évènement impacta les bassins sidérurgiques du Nord lorrain, leurs habitants, leurs clubs de football et leurs entreprises. Le FC Metz s’affirma rapidement comme le club préféré des « Hommes du fer » qui délaissaient les associations sportives locales, que ce soit en qualité de supporters ou de joueurs. Certains dirigeants de sociétés sidérurgiques, qui avaient investi dans le football, ne restaient pas sans réagir et tentèrent de monter des équipes de joueurs professionnels devant concurrencer le FC Metz.