Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Histoire du sabotage T01

Cachard Victor
Date de parution 25/11/2022
EAN: 9782490403363
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Une histoire du sabotage en deux volumes, c'est l'occasion de parcourir les nombreux mouvements qui s'opposent à toutes les formes d'exploitation et d'oppression. Des attaques contre la fortification, durant le Moyen Âge, aux incendies contre les ant... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLIBRE PARIS
Nombre de pages310
Langue du livreFrançais
AuteurCachard Victor
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/11/2022
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,50 x 1,40 x 2,00 cm
Des traine-savates aux briseurs de machines
Une histoire du sabotage en deux volumes, c'est l'occasion de parcourir les nombreux mouvements qui s'opposent à toutes les formes d'exploitation et d'oppression. Des attaques contre la fortification, durant le Moyen Âge, aux incendies contre les antennes 5G aujourd'hui, en passant par les traine-savates dans les usines et le sabotage de la colonisation, ces deux tomes permettent de comprendre ce qu'est le sabotage et pourquoi il est toujours d'actualité. Dans le premier tome, il est question de remonter aux origines anarchistes de la pratique. C'est au moment où les militants renoncent à l'assassinat politique que la décision est prise de porter atteinte à la production. Outre le bris de machine, le sabotage se manifeste aussi dans la paresse du travailleur, dans celui qui chôme volontairement, croise les bras et ainsi, ralentit la production, tel Bartleby, le personnage de la nouvelle d'Hermann Melville qui répond systématiquement à son patron : « I would prefer not to »...