Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Franz à la Fenice

Schlechter Lambert, Schlechter Lysiane
Date de parution 10/06/2025
EAN: 9782488229005
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Franz à la Fenice est le dernier volume du vaste projet littéraire Le Murmure du monde, collection de fragments où l'anecdote est philosophique, quelquefois autobiographique. Ce onzième volume est celui «où la mort s'invite» : «Chaque fois que le rac... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurHERBE TREMBLE
Nombre de pages122
Langue du livreFrançais
AuteurSchlechter Lambert, Schlechter Lysiane
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution10/06/2025
Poids200 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,70 x 14,00 x 21,00 cm
Histoires où la mort s'invite
Franz à la Fenice est le dernier volume du vaste projet littéraire Le Murmure du monde, collection de fragments où l'anecdote est philosophique, quelquefois autobiographique. Ce onzième volume est celui «où la mort s'invite» : «Chaque fois que le raconteur d’histoires prenait l’élan de raconter une histoire, c’était l’élan vers une histoire qui raconterait quelque chose d’heureux sinon de consolant, et aussitôt des perles de sueur apparaissaient sur son front, les paumes de ses mains devenaient humides, sa bouche se desséchait, son cœur battait avec des ratés, son regard strabisait, et comme chaque fois qu’il avait pris cet élan, il regretta de l’avoir pris, se disant qu’il n’avait pas choisi le bon moment, ni la bonne heure du jour, ni le bon jour de la semaine, et pourtant tout le temps il n’avait qu’une envie : raconter une histoire, de celles qui font du bien et qui consolent, il y a dans l’air et dans le monde un tel besoin de consolation — et alors, en plein regret d’avoir pris l’élan, il se fait violence, essuie la sueur de son front, et sèche ses paumes humides, place son feuillet sur la table, dévisse le capuchon de sa plume, et se met en posture d’écriture, écrit les premières lignes, entre de plain-pied dans son histoire, sans trop réfléchir, et les contours d’un personnage se font voir, puis ceux d’un deuxième — et au fil de la page et au gré de l’encre qui se dépose, le destin des protagonistes s’assombrit, des menaces pèsent sur eux, vagues d’abord, puis de plus en plus précises, et au bas du troisième feuillet, il a écrit encore une histoire qui se termine par la mort.»