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Le cèdre, le baobab et le bouleau

Saleh Samy
Date de parution 14/06/2018
EAN: 9782414225378
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
« Jeune adulte, j’ai commencé à prendre des notes concernant ma famille, mes origines. Avec le temps, en consultant cette montagne d’écrits, les questions "qui suis-je ?" et "quel immigré suis-je ?" se sont imposées. Cette autobiographie, qui aurait ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurEDILIVRE
Nombre de pages132
Langue du livreFrançais
AuteurSaleh Samy
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution14/06/2018
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,70 x 13,40 x 20,40 cm
Autobiographie
« Jeune adulte, j’ai commencé à prendre des notes concernant ma famille, mes origines. Avec le temps, en consultant cette montagne d’écrits, les questions "qui suis-je ?" et "quel immigré suis-je ?" se sont imposées. Cette autobiographie, qui aurait pu s’appeler Le Cèdre et le baobab, aurait été incomplète sans la deuxième partie du livre, que j’ai intitulée "Le Bouleau", un genre de "fourre-tout" du Samy. Ce sont des textes consacrés à mes lectures, mes interrogations, mes curiosités, mes indignations. Ce livre est un clin d’œil aux miens, aux Libano-Sénégalais, au Sénégal et à sa "Teranga". Il y a cent ans, eurent lieu dans ce pays de belles histoires d’immigrations, avec tant de déchirements, de meurtrissures, de destructions. Ces migrants libanais ont osé se lancer dans la terre du baobab, après avoir traversé le village de Dakar, les bateaux en partance pour l’Amérique faisant des escales maritimes sur ce continent africain. Certains pensaient être déjà arrivés et se sont installés… Combien de fois ai-je imaginé le regard inquiet et émerveillé de mes parents, jeunes adolescents accostant sur cette terre africaine, et leur premier contact avec le baobab au pays du Sahel tout plat, le comparant au cèdre du Liban, enraciné dans sa montagne ? C’est le baobab qui a pris le dessus sur eux, sur moi, le baobab est mon ancrage à la terre, mon aspiration au départ, mon lieu de passage, mon lieu de refuge et de méditations. J’étais bien sous le baobab, mais mon ruisseau m’a conduit sous le bouleau, et le temps, ce monstre implacable, m’amènera encore je ne sais où. »