Traitement en cours...
Fermer la notification

Toutes nos lignes téléphoniques...

sont actuellement en dérangement du fait de l'opérateur (SFR), qui nous dit mettre tout en œuvre pour rétablir la situation dans les plus brefs délais mais jusqu'ici n'a pas réussi à le faire.
Nous restons cependant à votre disposition par d'autres moyens pour vous informer.
Si vous souhaitez connaître les dates estimées d’expédition des titres que vous avez commandés, pensez à simplement consulter le détail de vos commandes sur side.fr.
Si vous avez besoin d’une autre information, vous pouvez, selon votre urgence, écrire à notre service clients à france@side.fr ou appeler directement votre représentant ou appeler le 06 34 54 96 63, le numéro d'urgence temporaire que nous avons mis en place en attendant de retrouver notre accueil téléphonique habituel.

Afficher la notification

Le journal intime de barbie

Makou Benoîte Martine
Date de parution 06/12/2017
EAN: 9782414146574
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Quand il a voulu me toucher, je l’ai violemment repoussé. Je me l’étais promis, je dois tenir bon. Trop, c’est trop. Il m’a laissée et est parti au dehors. You_PI, j’ai gagné !!! Désormais, je ne me laisserai plus faire. Il est temps pour moi de m’af... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurEDILIVRE
Nombre de pages60
Langue du livreFrançais
AuteurMakou Benoîte Martine
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution06/12/2017
Poids1 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,50 x 13,40 x 20,40 cm
(Interdit aux moins de 18 ans) Récit de vie
Quand il a voulu me toucher, je l’ai violemment repoussé. Je me l’étais promis, je dois tenir bon. Trop, c’est trop. Il m’a laissée et est parti au dehors. You_PI, j’ai gagné !!! Désormais, je ne me laisserai plus faire. Il est temps pour moi de m’affirmer. Et Aubert et tous ceux qui viendront après lui sentiront mon poing dans leur figure. Pauvres canailles, va !!! Ouuuuuf… Comme je me sens soulagée après cette prouesse. Mais j’ai crié très vite victoire. Aubert était en fait, parti chercher des cordes, oui je dis bien, des cordes. Rapidement et en moins d’une minute, me voici solidement attachée. Me débattre me faisait encore plus souffrir que rester calme. Puis je me souviens de cette blague que disait ce journaliste Joseph O. : « lorsque le viol devient inévitable, détends-toi et...»