B ou la vie en 3D

« Comme tous les hommes qui se rasent le crâne, il m’arrive d’être très con... Surtout après le déjeuner, quand j’ai le ventre plein. » Ainsi commence cette histoire, écrite à la première personne. Elle se termine par une question toute simple : « Maintenant, dis-moi, est-ce que c’était ça, c’est ça, l’amour ? » Entre les deux, un torrent d’émotions qui vient bousculer la vie du narrateur et de B, une charmante « sorcière grise », pleine de rires, de larmes et de poésie.Pour elle, les bisous sont des « ziboux » et les « joyeux Noël » deviennent des « Noyeux Joël ». Les petits bonheurs et les grands chagrins, exacerbés par la passion, se succèdent à un rythme effréné et tiennent le lecteur « hors d’haleine ».Il y a tant de ruptures dans ce roman que le livre menace de se terminer à chaque page !