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Onze façons de faire succomber sa tante ou toute autre nonagénaire acariâtre

Milan-Primevère Valère, Pleutin Patrick
Date de parution 31/12/2099
EAN: 9782385730024
Disponibilité A paraître: 31/12/2099
On ne mesure pas assez l’intérêt des gazettes provinciales : leurs relevés des faits divers locaux, dont les détails inattendus sont précieux, pourraient rendre bien des services. La vie des familles est complexe, faite de petits riens, el... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurFARIO
Nombre de pages40
Langue du livreFrançais
AuteurMilan-Primevère Valère, Pleutin Patrick
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution31/12/2099
Poids1 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,10 x 14,00 x 20,00 cm
selon des méthodes rustiques et fiables relevées directement dans plusieurs gazettes
On ne mesure pas assez l’intérêt des gazettes provinciales : leurs relevés des faits divers locaux, dont les détails inattendus sont précieux, pourraient rendre bien des services. La vie des familles est complexe, faite de petits riens, elle est parfois tragique dans ses détails mêmes. Une nonagénaire alerte, pour peu qu’elle ait conservé une capacité de nuisance intacte, par ses manies, ses marottes, ses préjugés, l’absence d’inhibition que l’âge finit par favoriser, est une source de tracas infinie. S’en débarrasser n’est pas à la portée de tout le monde et on rendra justice à ce petit manuel après avoir découvert les diverses astuces qu’il met gracieusement à la portée de chacun. Le titre le laisse présager, la vie rurale est sans doute plus propice à quelques-unes de ces recettes. Mais nous ne doutons pas que le citadin ordinaire trouvera ici des pistes prometteuses ou des modalités transposables. *« […]Il a fallu battre en retraite et par chance j’ai pu grimper dans un arbre que j’avais repéré à proximité. Ma tata aussi a voulu monter, ce n’était pas facile car d’abord elle ne voulait pas lâcher le panier de mûres qu’elle avait dans la main. Ensuite j’ai essayé de l’encourager mais je n’avais pas vu que lorsqu’elle avait saisi la première branche, comme j’étais déjà un peu plus haut, j’avais posé le pied sur sa main, ce qui a peut-être légèrement gêné sa progression. Mais de toute façon c’était trop tard : de toute évidence la sanglière était furieuse, elle n’a pas fait de quartiers. J’ai dû attendre une heure assis tranquillement sur une branche avant de redescendre pour ramasser les morceaux de ma tata et les mûres qui étaient tombées du panier. »