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La magie chez les Chaldéens

Lenormant François
Date de parution 24/08/2022
EAN: 9782385081003
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
François Lenormant, né le 17 janvier 1837 à Paris où il est mort le 9 décembre 1883, est un helléniste, assyriologue et archéologue français.L'histoire de certaines superstitions constitue l'un des chapitres les plus étranges, mais non l'un des moins... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCULTUREA
Nombre de pages356
Langue du livreFrançais
AuteurLenormant François
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution24/08/2022
Poids461 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,90 x 14,80 x 21,00 cm
et les origines accadiennes
François Lenormant, né le 17 janvier 1837 à Paris où il est mort le 9 décembre 1883, est un helléniste, assyriologue et archéologue français.L'histoire de certaines superstitions constitue l'un des chapitres les plus étranges, mais non l'un des moins importants de l'histoire de l'esprit humain et de ses développements. Quelque folles qu'aient été les rêveries de la magie et de l'astrologie, quelque loin que nous soyons maintenant, grâce au progrès des sciences, des idées qui les ont inspirées, elles ont exercé sur les hommes, pendant de longs siècles, et jusqu'à une époque encore bien rapprochée de nous, une influence trop profonde et trop décisive pour être négligée de celui qui cherche à scruter les phases des annales intellectuelles de l'humanité.Les siècles les plus éclairés même de l'antiquité ont ajouté foi à ces prestiges; l'empire des sciences occultes, héritage de la superstition païenne survivant au triomphe du christianisme, se montre tout-puissant au moyen âge, et ce n'est que la science moderne qui est parvenue à en dissiper les erreurs. Une aberration qui a si longtemps dominé tous les esprits, jusqu'aux plus nobles et aux plus perspicaces, dont la philosophie elle-même ne s'est pas défendue, et a laquelle, à certaines époques, comme chez les Néoplatoniciens de l'école d'Alexandrie, elle a donné une place de premier ordre dans ses spéculations, ne saurait être exclue avec mépris du tableau de la marche générale des idées.