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Magellan, dans l’histoire générale des voyages

de La Harpe Jean-François
Date de parution 05/03/2025
EAN: 9782384693283
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Fernand Magalhaens, que nous avons pris l’habitude de nommer Magellan, était Portugais de nation, et d’une famille noble. Les historiens qui nous ont fait connaître ses actions ne nous ont instruits ni du lieu de sa naissance, ni des particularités d... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurHOMME ET LITT
Nombre de pages118
Langue du livreFrançais
Auteurde La Harpe Jean-François
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution05/03/2025
Poids250 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,20 x 20,30 x 13,30 cm
Fernand Magalhaens, que nous avons pris l’habitude de nommer Magellan, était Portugais de nation, et d’une famille noble. Les historiens qui nous ont fait connaître ses actions ne nous ont instruits ni du lieu de sa naissance, ni des particularités de sa vie privée. On sait seulement qu’il s’adonna de bonne heure à la navigation, se livrant à l’étude de la cosmographie et de l’astronomie, comme tous les hommes de son temps qui se sont illustrés sur mer. Pour acquérir des titres aux faveurs de la cour, et obtenir un emploi convenable à ses talents, il entreprit le voyage des Indes, et servit avec distinction sous le célèbre Albuquerque, surtout à Malacca, en 1511, lorsque ce vice-roi en acheva la conquête.Il se trouvait à cette expédition avec son parent François Serrano. Argensola, historien des Moluques, écrit que Magellan partit avec Serrano et Antonio Abreu pour aller à la découverte de cet archipel ; mais il est le seul qui fasse mention de cette particularité. Il paraît, au contraire, que Magellan sollicita un commandement et ne put l’obtenir ; alors il résolut de revenir en Europe demander l’avancement qui lui avait été refusé dans les Indes. Il avait profité de son séjour dans ces contrées pour prendre toutes les informations qu’il croyait propres à servir à sa fortune. Les lumières qu’il devait à Serrano, avec lequel, selon tous les historiens, il conserva toujours d’étroites relations, semblaient lui promettre un accueil favorable en Portugal.