Mes histoires du vendredi

Cet ouvrage, apparemment apparenté au genre autobiographique, n’en est pas pour autant, ce malgré qu’il relate des tranches de vie réelles, intégralement vécues par leur auteur, dont l’intention et la finalité consistent simplement à encourager, sinon exhorter, d’autres auteurs, en herbe ou confirmés, à raconter certains événements dignes d’être contés en raison de leur originalité, en tout cas de leur caractère inattendu et peu commun.A cet égard, on pourrait qualifier l’auteur de nouvelliste et attribuer à ses histoires la qualification de nouvelles.Cependant, il s’en défendra à juste titre, arguant que le genre de la nouvelle relève de la pure fiction souvent associé au registre fantastique, alors que ses histoires se sont véritablement produites, même celle du fantôme. De plus, elles ont été rédigées dans un ordre spontanément et tout à fait involontairement achronique.Enfin, il faut savoir que toutes ces histoires ont été livrées par leur auteur à ses collègues dans des circonstances spécifiquement professionnelles, le plus souvent à la sollicitation de ces derniers et pour le plus grand plaisir de ce premier.Puissent-elles faire boule de neige…