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Cahiers du Cinéma n°823 : Oui - Septembre 2025

Les Cahiers du cinéma
Date de parution 03/09/2025
EAN: 9782377161263
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Dans un contexte politique et guerrier désastreux, que peut bien signifier le Oui qui donne son titre au film de Nadav Lapid, le plus important selon nous à ce jour ? En regard d’un entretien avec son réalisateur, Marcos Uzal livre la critique de ce ... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCAHIERS CINEMA
Nombre de pages132
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurLes Cahiers du cinéma
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution03/09/2025
Poids2 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,40 x 20,00 x 27,00 cm
Nadav Lapid face à la destruction
Dans un contexte politique et guerrier désastreux, que peut bien signifier le Oui qui donne son titre au film de Nadav Lapid, le plus important selon nous à ce jour ? En regard d’un entretien avec son réalisateur, Marcos Uzal livre la critique de ce film stimulant et complexe.Poursuivant leurs conversations mensuelles avec des artistes et écrivains autour de l’anniversaire des 130 ans de la naissance du cinéma, les Cahiers de septembre dialoguent avec la metteuse en scène et autrice Angélica Liddell, pour qui l’expression « brûler les planches » a rarement été plus littéralement pertinente. Elle revient sur le caractère vital de la cinéphilie pour elle et aussi des textes de cinéastes, ceux de Godard et de Bresson entre autres.Particulièrement riche en entretiens, ce numéro consacre de nombreuses pages à une conversation drolatique avec Pierre Richard, dont le neuvième film comme réalisateur sort ce mois-ci. A la faveur d’une ressorti en salles, nous revenons sur la trilogie adolescente que l’Américain Gregg Araki, également interviewé, signa dans les années 1990, sans oublier notre entretien exclusif avec Takeshi Kitano réalisé à Tokyo.Ouvert sous le signe de la subversion, ce numéro traite de films de la rentrée qui ne manqueront pas de diviser, Sirât d’Oliver Laxe et Kontinental ’25 de Radu Jude, s’entretient avec le réalisateur du non moins incandescent Ciudad sin sueño Guillermo Galoe, et avec Pascal Cervo l’acteur familier du cinéma de Paul Vecchiali, dont sort l’ultime film Bonjour la langue.Le cahier critique s’offre en panorama international, entre le Thaïlandais Fantôme utile, le Japonais Renoir, le Français Le Roi Soleil, et le dialogue entre la cinéaste iranienne en exil Sepideh Farsi et feu la jeune photographe palestinienne Fatma Hassouna (Put Your Hand on Your Soul and Walk).Le Journal des Cahiers n’est pas moins cosmopolite, qu’il rencontre au FIDMarseille un duo de documentaristes chiliens, redécouvre l’œuvre d’une cinéaste hongroise (Judit Elek), dégote au festival de Bologne les meilleures restaurations scandinaves ou japonaises, à Karlovy Vary une trouvaille du Bangladesh, ou à Biarritz des premiers films inédits. Une enquête sur l’état du cinéma en Corée du sud et un reportage au Pakistan viennent compléter ces voyages, contribuant à l’éclectisme d’un mois de septembre où Frank Borzage côtoie Stanley Donen, Alain Cavalier, Alan Pakula, Vera Chytilova et… South Park.