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Thérèse Raquin

Zola Émile
Date de parution 25/07/2017
EAN: 9782377051021
Disponibilité Manque temporaire
Mariée à Camille, un homme souffreteux, Thérèse s’est prise de passion pour Laurent, un ami d’enfance de son époux. Les deux amants décident de supprimer le mari gênant, mais une fois le crime commis, ils sont hantés par le remords. Les deux complic... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurCOMEDIATHEQUE
Nombre de pages85
Langue du livreFrançais
AuteurZola Émile
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution25/07/2017
Poids87 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,40 x 12,00 x 18,00 cm
Mariée à Camille, un homme souffreteux, Thérèse s’est prise de passion pour Laurent, un ami d’enfance de son époux. Les deux amants décident de supprimer le mari gênant, mais une fois le crime commis, ils sont hantés par le remords. Les deux complices sont poursuivis par le regard accusateur du portrait de Camille, que Laurent a peint autrefois. En outre la mère du défunt, frappée de paralysie et incapable de parler après avoir entendu fortuitement les aveux de sa belle-fille et de son nouvel époux, continue de vivre sous leur toit sans pouvoir dénoncer leur crime...En adaptant son roman au théâtre, Zola expérimente dans cette pièce les principes du mouvement naturaliste : "J’allais pouvoir faire une étude purement humaine, dégagée de tout intérêt étranger, allant droit à son but ; l’action n’était plus dans une histoire quelconque, mais dans les combats intérieurs des personnages ; il n’y avait plus une logique de faits, mais une logique de sensations et de sentiments et le dénouement devenait un résultat arithmétique du problème posé. Alors, j’ai suivi le roman pas à pas ; j’ai enfermé le drame dans la même chambre, humide et noire, afin de ne rien lui ôter de son relief, ni de sa fatalité ; j’ai choisi des comparses sots et inutiles, pour mettre, sous les angoisses atroces de mes héros, la banalité de la vie de tous les jours ; j’ai tenté de ramener continuellement la mise en scène aux occupations ordinaires de mes personnages, de façon à ce qu’ils ne jouent pas mais à ce qu’ils vivent devant le public."