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Le Travail, la lutte et les passions

collectif
Date de parution 18/09/2020
EAN: 9782376800316
Disponibilité Manque temporaire
Le Travail, la lutte et les passions. Tels sont les thèmes des quatorze bronzes décoratifs belges récemment offerts au musée de Roubaix par Philippe et Françoise Mongin, généreux couple de collectionneurs parisiens. Présentée pour la première fois au... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurINVENIT
Nombre de pages66
Langue du livreFrançais
Auteurcollectif
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution18/09/2020
Poids212 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,60 x 18,00 x 24,10 cm
Bronzes belges au tournant du XXe siècle, autour de la donation Philippe et Françoise Mongin
Le Travail, la lutte et les passions. Tels sont les thèmes des quatorze bronzes décoratifs belges récemment offerts au musée de Roubaix par Philippe et Françoise Mongin, généreux couple de collectionneurs parisiens. Présentée pour la première fois au public de La Piscine, en cohérence avec la rétrospective consacrée à Jules Adler, le "peintre des humbles", cette donation constitue le coeur d'une exposition-dossier et de cette publication.De Constantin Meunier (1831-1905) à Joseph Witterwulghe (1883-1967) en passant par Jef Lambeaux (1852-1908), ce sont trois générations de sculpteurs qui sont évoquées. Les sujets réalistes liés au monde du travail et des travailleurs y côtoient une veine plus légère, autour de l'amour et des bacchanales, tandis que se mêlent les héritages du romantisme, du naturalisme et de l'exubérance de la peinture flamandes du Siècle d'or.Dans les collections de La Piscine où elles rejoignent les oeuvres de Rémy Cogghe, mais aussi de Philippe Wolfers, Georges Higuet ou Georges Minne, ces pièces soulignent un tropisme belge ancien et fondateur pour la ville de Roubaix et pour son musée. La proximité géographique et les besoins considérables de main-d'oeuvre d'une industrie textile (lainière notamment) en pleine expansion ont en effet alimenté au XIXe et au début du XXe siècles une très importante immigration flamande dans toute la métropoloe lilloise, et notamment dans les villes de Roubaix et Tourcoing où la thèse de l'art socila défendue par un artiste comme Constantin Meunier trouve un écho évident.