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Les beaux-arts à Bordeaux et en Guyenne au Grand siècle

Favreau Marc
Date de parution 01/03/2025
EAN: 9782371570610
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Le XVIIe siècle bordelais pâtit de sa position entre un Moyen Âge glorieux, une Renaissance illustre et un Siècle des Lumières étincelant. Cependant, il témoigne d’événements qui ont marqué la politique française (la Fronde) et européenne (mariages r... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurENTRE DEUX MERS
Nombre de pages254
Langue du livreFrançais
AuteurFavreau Marc
FormatHardback
Type de produitLivre
Date de parution01/03/2025
Poids1007 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,70 x 19,00 x 26,00 cm
Apollon à Bordeaux, collectionnisme, curiosité et mécénat (1578-1715)
Le XVIIe siècle bordelais pâtit de sa position entre un Moyen Âge glorieux, une Renaissance illustre et un Siècle des Lumières étincelant. Cependant, il témoigne d’événements qui ont marqué la politique française (la Fronde) et européenne (mariages royaux de 1615 et 1659), mais aussi du développement de son port négociant avec le Nord de l’Europe et les Antilles, de la naissance des premiers crus et d’une Église triomphante qui dominait la vie religieuse de la ville et de la province. Certaines commandes artistiques de l’Eglise ainsi que de la noblesse d’épée et de robe – le cardinal de Sourdis à la Chartreuse, d’Épernon à Cadillac ou de Gourgue à Bordeaux - ont frappé les esprits et ont permis à la sculpture et à la peinture de se diffuser dans les différents milieux, comme de s’ouvrir aux grands courants internationaux et au marché de l’art européen. Mais si le nombre de tableaux s’accrut sous le règne de Louis XIV, la plupart des Bordelais se cantonnèrent souvent à un intérêt iconique pour des peintures de dévotion et des portraits et la greffe artistique ne prit pas vraiment sur un terreau local surtout intéressé par le négoce du vin et l’investissement dans la pierre. Ce constat, qui se répètera au siècle suivant, ne doit pas, cependant, faire oublier qu’il exista une élite urbaine éclairée, de laïcs ou de religieux, collectionneurs ou mécènes, qui maintinrent vivants le goût et la curiosité envers les arts.