Justice en Corse

Après l’avoir dépouillé de son appartement au profit du fils d’un confrère, un magistrat spolie une seconde fois Jean-Claude Rogliano en attribuant au pillard qui l’a cambriolée une partie de la maison qu’il vient d’acheter.Son récit est l’occasion pour l’auteur de Mal’Concilio d’en relater bien d’autres, tragiques, burlesques ou épiques à travers le filigrane d’un combat mené contre une des atteintes à la démocratie dans une île écartelée entre imposture et népotisme.« Un dossier accablant »La Ligue des droits de l’homme Nice-Matin« L’affaire est si abracadabrante qu’on peine d’abord à y apporter foi. D’autant que la science de conteur de Jean-Claude Rogliano fait presque de cette sordide histoire de racket judiciaire une farce enlevée Mais les faits sont là, accablants, et, à partir d’un cas de spoliation inique par une justice qui ne s’encombre pas plus d’éthique que de dignité, l’auteur dénonce autant l’exercice judiciaire en Corse que les dérives d’un sys- tème où le juge se place cyniquement hors la loi »Philippe-Jean Catinchi le Monde« Un témoignage particulier du délabrement institutionnel de la Corse »Patrick Kechichian le Monde des Livres« Ubu sous les châtaigniers »Les Dossiers du Canard Enchaîné« A travers cette histoire, Jean Claude Rogliano n’hésite pas à défier l’omnipotence des juges qui bafouent le droit et l’équité, mais aussi à dénoncer la couardise de ceux qui, confondant esprit de corps et compli- cité, par leur silence, cautionnent leurs agissements mafieux »Campus Télé 7 Jours