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UN SIECLE DE CINEMA AMERICAIN EN 100 FILMS (2. 1960-2000)

Gourisse Benoît
Date de parution 30/10/2025
EAN: 9782367164885
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Au début des années soixante, la nouvelle gauche américaine prend le pouvoir à Hollywood (dans les médias américains également). Les cinéastes (Lumet, Penn, Pakula, Ritt et beaucoup d’autres) sont hostiles à la guerre du Vietnam, critiquent la constr... Voir la description complète
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ÉditeurLETTMOTIF
Nombre de pages470
Langue du livreFrançais
AuteurGourisse Benoît
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution30/10/2025
Poids890 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)4,00 x 16,40 x 23,40 cm
Au début des années soixante, la nouvelle gauche américaine prend le pouvoir à Hollywood (dans les médias américains également). Les cinéastes (Lumet, Penn, Pakula, Ritt et beaucoup d’autres) sont hostiles à la guerre du Vietnam, critiquent la construction de l’Amérique, mettent fin au Code Hays et sonnent l’ouverture au réalisme traduit par la crudité de la violence et l’apparition du sexe dans le cinéma américain.L’émergence du néoréalisme en Italie et de la Nouvelle Vague en France fait parfois oublier que les années soixante sont tout aussi tumultueuses dans l’expression artistique à Hollywood et qu’un courant “révolutionnaire” d’intensité comparable balaie les allées des grands studios.Les dits studios oscillent entre ce nouveau cinéma, bien moins porté sur le divertissement, et des œuvres à grand spectacle qui parfois seront proches de causer leur perte. De nouvelles stars supplantent les anciennes (Paul Newman, Sean Connery, Steve McQueen, Clint Eastwood). Le visage du cinéma américain est changé.Puis, au milieu des années soixante-dix, les dernières barrières “morales” sur la représentation de la violence et du sexe à l’écran disparaissent sous l’impulsion de cinéastes tels que Coppola, Scorsese, Friedkin, de Palma.Ils honorent les vieux maîtres mais sont tentés par l’hyperréalisme. Ils réinventent le film policier, le film de guerre, le drame et s’ancrent dans un quotidien devenu triste : le traumatisme de la défaite au Vietnam et la crise économique consécutive aux chocs pétroliers infusent Hollywood.Spielberg et Lucas seront parmi les derniers à entretenir la flamme du divertissement dans les années quatre-vingt… avec un succès planétaire. Le cinéma populaire reviendra, avec une nostalgie marquée de l’âge d’or.Ce cinéma hybride, violent, cru mais aussi par moments insouciant transforme le système de production et de création : les acteurs deviennent cinéastes, les cinéastes deviennent producteurs, les studios traversent une crise d’identité – et une crise économique – sans précédent.L’étude s’arrête en 2001 … avant le 11 septembre, cette terrible épreuve qui encore une fois chamboulera le cinéma américain … mais ce sera l’objet d’un autre ouvrage.