Traitement en cours...
Fermer la notification

Nous revoilà !

Bienvenu(e) sur votre nouveau side.fr

Afficher la notification

La bête ne meurt jamais…

Lidon Jean
Date de parution 24/06/2014
EAN: 9782366540277
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
250 après, la bête revient hanter l’Auvergne et le Gévaudan.L’histoire de la Bête qui ravagea l’Auvergne et le Gévaudan à la fin du XVIIIe siècle passionne les amateurs d’énigmes irrésolues et distrait les touristes. Alors, 250 ans plus tard, quand l... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurMONTS AUVERGNE
Nombre de pages248
Langue du livreFrançais
AuteurLidon Jean
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution24/06/2014
Poids408 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,80 x 16,00 x 24,00 cm
250 après, la bête revient hanter l’Auvergne et le Gévaudan.L’histoire de la Bête qui ravagea l’Auvergne et le Gévaudan à la fin du XVIIIe siècle passionne les amateurs d’énigmes irrésolues et distrait les touristes. Alors, 250 ans plus tard, quand les accidents de la circulation se multiplient en Auvergne, Duhamel pense qu’il s’agit des actes d’un déséquilibré, mais il ne pense pas aux événements de 1764. Quand ces crimes sont revendiqués par la Bête elle-même, transfigurée en voitures aussi meurtrières et insaisissables que leur ancêtre, il comprend que quelque chose est en train de se passer et que tout sera beaucoup plus compliqué qu’il ne l’avait imaginé au premier jour. L’histoire ne serait-elle pas en train de se répéter ? Remplacé à la tête de l’enquête par le trop confiant Denneval et le très ambitieux Antoine, il ira jusqu’au bout de cette nouvelle histoire de la Bête.« … La voiture glissait lentement sur le bitume. Les phares balayaient les arbres dans la nuit, lentement. On aurait dit qu’ils s’animaient pour lui, qu’ils le regardaient passer avec admiration. Les arbres et les bêtes pouvaient le comprendre. Au volant il n’était plus lui-même. La voiture le transportait dans un monde imaginaire, au cœur même de ses rêves les plus sombres… »