Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

TABLEAUX

CÉDRIC MARTIGNY, PASCAL THERME
Date de parution 04/01/2020
EAN: 9782365100755
Disponibilité Epuisé
Cet ouvrage est la restitution de la résidence photographique de Cédric Martigny au sein du groupe Lamotte, entreprise de promotion immobilière située à Rennes.Par le biais d'un dispositif de lumières proche du studio, le premier chapitre de l'ouvrag... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurDE JUILLET
Nombre de pages120
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurCÉDRIC MARTIGNY, PASCAL THERME
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution04/01/2020
Poids1 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,50 x 26,00 x 20,00 cm
Cet ouvrage est la restitution de la résidence photographique de Cédric Martigny au sein du groupe Lamotte, entreprise de promotion immobilière située à Rennes.Par le biais d'un dispositif de lumières proche du studio, le premier chapitre de l'ouvrage théâtralise lesmouvements des hommes et femmes sur les chantiers de construction. Le deuxième chapitre, consacré à la vie de bureau, met en scène les salariés de l'entreprise (bureau d'étude, comptabilité,...) en se référant à la peinture classique.« Cédric Martigny construit un environnement visuel et plastique dans une mise en scène qui relève aussi bien du film d'humour, du film muet que de cette peinture réaliste de l'École de Barbizon, Millet en particulier (on se souvient des Glaneuses dont Agnès Varda s'inspira pour son film éponyme), et des maîtres flamands pour leurs clairs-obscurs. Il y a par ces référents un effet de reterritorialisation du geste et un appel à toute une histoire visuelle, dont celle du cinéma, dans le fait qu'une image en appelle une autre...Ce rapport à l'imaginaire est fondé par le travail du photographe, qui donne la possibilité de représentation au geste de l'artisan, pour se repositionner dans le champ du visible, agit ici intentionnellement, également par la référence à Winogrand qui cherchait « à quoi ressemblent les choses quand elles sont photographiées ». Au vu de ses travaux précédents, Ateliers, Associations, Cédric Martigny évoque ici une possible représentation du travail ; celui-ci passe par le geste en raison du corps. « C'est par la représentation du geste qu'on va pouvoir parler du travail, dit-il, parce que c'est le corps qui engage le travailleur dans la pénibilité, la beauté, toute façon d'être au monde. Par nature le geste a une dimension esthétique, c'est une forme, un imaginaire ».Pascal Therme (extrait de la préface)