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Penser la violence collective

Salloum C., Brice Benjamin
Date de parution 15/02/2013
EAN: 9782363670496
Disponibilité Manque temporaire
Depuis quelques temps, l’usage du terme de « guerre » connaît une remise en cause : d’un côté la guerre est euphémisée par l’usage de termes moins rudes (« intervention », « opération », « maintien de la paix »), de l’autre, elle est banalisée par un... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurNUVIS
Nombre de pages280
Langue du livreFrançais
AuteurSalloum C., Brice Benjamin
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/02/2013
Poids4 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)2,00 x 14,00 x 24,00 cm
Depuis quelques temps, l’usage du terme de « guerre » connaît une remise en cause : d’un côté la guerre est euphémisée par l’usage de termes moins rudes (« intervention », « opération », « maintien de la paix »), de l’autre, elle est banalisée par un usage extensif (guerre entre entreprises, guerre contre la maladie, guerre contre la misère). Le présent ouvrage se réfère donc à la notion de violence dans son acception générale, puisque les contributions ne se limitent pas à la violence armée entre communautés politiques. En présentant l’évolution de la pensée sur la violence collective, les champs dans lesquels elle se déploie, les paradigmes qui servent à la comprendre, la justifier et la canaliser, ce livre permet d’appréhender la violence dans toute sa complexité et de faire ressortir à la fois ruptures et continuités. L’objectif n’est pas de présenter des recommandations opérationnelles aux militaires, aux diplomates ou aux hommes politiques directement engagés dans l'action, mais de proposer à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre le monde actuel, des repères théoriques généraux s’appuyant sur de solides analyses empiriques,. À une époque où l’incertitude paraît dominer, où les faits présentent un aspect particulièrement ambivalent, où les informations circulent à grande vitesse, où les données s’accumulent sans ordre ni hiérarchie, il apparaissait nécessaire d’éclairer l’action politique par une mise en perspective scientifique.