Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

CE QUE, S'IL FALLAIT CROIRE, JE CROIRAIS AVOIR ÉTÉ

COLAUX DENYS-LOUIS
Date de parution 15/11/2016
EAN: 9782363362834
Disponibilité Epuisé
Ce livre, c’est le double récit alterné d’un même narrateur à deux époques de sa vie. Il erre d’abord, chorégraphique et boiteux, entre l’enfance et l’adolescence, il flâne ensuite dans l’espace de sa cinquantaine, entre quinquet et lucioles stellair... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurJACQUES FLAMENT
Nombre de pages156
Langue du livreFrançais
AuteurCOLAUX DENYS-LOUIS
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution15/11/2016
Poids-
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 13,00 x 20,00 cm
Ce livre, c’est le double récit alterné d’un même narrateur à deux époques de sa vie. Il erre d’abord, chorégraphique et boiteux, entre l’enfance et l’adolescence, il flâne ensuite dans l’espace de sa cinquantaine, entre quinquet et lucioles stellaires. Jeune, il regarde filles, fées et femmes, s’enivre d’elles, les craint, les considère, les contemple par le chas de son désir et par la lorgnette de sa candeur en phase de résorption. Vieux, bien quinquagénaire, il marche, songe et ronchonne dans la forêt de sa vie entre futaies, livres, ombres, clairières, œuvres, champs, poèmes, fougères. Le narrateur , loyal et pirate, auto et altrobiographique, est embusqué dans ce patchwork d’humanité caustique, dans le sable émouvant, le sable mourant de ce jeu spéculaire, dans le goût immodéré pour le verbe, dans cette entaille spatio-temporelle où l’être va des voltes aléatoires, dans cette sorte de tendresse barbelée où il paît et saigne, dans cet éblouissement tamisé que lui inspire le miracle vertigineux de la vie. Il se tient là entre le refus du dépit, l’obsession raisonnée de la lucidité, l’assomption amusée de son état d’oiseau marcheur et quelque chose de drôle à quoi il con-sent de bon cœur. Il valse, lourd et allègre, entre l’amoureux frileux et enthousiaste qu’il était et le Sancho Quichotte qu’il est devenu.