Traitement en cours...
Fermer la notification

Le saviez-vous ?

SIDE a travaillé avec ses fournisseurs pour rendre ses colis respectueux de l'environnement.
Fini le plastique !
Le ruban adhésif qui sécurise la fermeture de nos colis et les chips de calage qui immobilisent les livres dans les cartons sont en matériaux recyclables et biodégradables.

Afficher la notification

Sean Landers. Animal Kingdom

Paul Frédéric
Date de parution 04/01/2024
EAN: 9782359064247
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
L'ostensible fausse naïveté et la fantaisie trompeuse de la peinture figurative de Sean Landers (né aux États-Unis en 1962), inspirée de la peinture européenne - celle de l'art du portrait de la Renaissance, celle du paysage romantique du XIXe siècle... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurLIENART
Nombre de pages112
Langue du livreFrançais
AuteurPaul Frédéric
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution04/01/2024
Poids464 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,00 x 19,50 x 25,50 cm
L'ostensible fausse naïveté et la fantaisie trompeuse de la peinture figurative de Sean Landers (né aux États-Unis en 1962), inspirée de la peinture européenne - celle de l'art du portrait de la Renaissance, celle du paysage romantique du XIXe siècle ou celle des Surréalistes - met en lumière une affirmation tant politique qu'esthétique des choix de l'artiste. Formé à Yale University School of Art dans les années 1980, il explique l'adoption de la figuration comme une prise de position alternative, un chemin dangereux mais dès lors fatalement irrésistible.Artiste conceptuel, Sean Landers, grand représentant de l'art contemporain américain, utilise son expérience personnelle comme sujet. Entre biographie et fiction, il met en scène sa vie d'artiste dans un mode d'exposition de soi qui résonne aujourd'hui avec la monstration de nos vies sur les réseaux sociaux : artifice, truchement, faux-semblant...Depuis plus de dix ans, l'artiste développe sa série d'animaux à la fourrure écossaise. Cette utilisation incongrue du tartan, en trompe-l'oeil, se pose en double référence à Magritte : à sa période dite « vache » de 1948 où dans un style volontairement grossier il sape la notion de « bonne peinture » ; et aux pantoufles écossaises que le surréaliste belge portait pour peindre. Partons à la rencontre d'un univers tout autant merveilleux que mystérieux : parade d'animaux, lion et singe au pelage faux bois, lapin ou coq fixant avec intensité leurs observateurs pour interroger peut-être leur propre humanité, forêt de bouleaux aux troncs couverts d'écriture entaillées dans le bois ou bibliothèque exposant ses titres fantaisistes comme autant de devinettes ou de confessions de l'artiste.