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Au nom de l’OAS

Buscia Gilles
Date de parution 10/02/2025
EAN: 9782357911680
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Ce récit est sans doute la dernière bombe de l’OAS. 10 ans d’histoire et de combats. 10 ans de la lutte irréductible de Gilles Buscia pour l’Algérie Française, puis contre l’État. Des forums et de l’espoir de mai 1958 aux barricades de mai 1968, l’it... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurATELIER FOL FER
Nombre de pages314
Langue du livreFrançais
AuteurBuscia Gilles
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution10/02/2025
Poids280 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)0,00 x 14,80 x 21,00 cm
Requiem pour une cause perdue
Ce récit est sans doute la dernière bombe de l’OAS. 10 ans d’histoire et de combats. 10 ans de la lutte irréductible de Gilles Buscia pour l’Algérie Française, puis contre l’État. Des forums et de l’espoir de mai 1958 aux barricades de mai 1968, l’itinéraire extraordinaire de celui qui avait pour nom de code Robert !Gilles Buscia révèle son action en 1958 en Corse, son rôle dans l’OAS-Algérie, ses opérations à la tête de l’OAS-Corse, les attentats contre Pompi­dou et De Gaulle, sa première arrestation, son évasion de Fres­nes, l’exécution des barbouzes, l’attentat du Mont Faron, les trahisons, la nouvelle arrestation, le procès, la détention. Il sera l’un des derniers libérés.?Il ne sortira qu’en juin 1968. Il était l’irréductible d’une cause perdue.Un livre plein de révélations, un livre coup de poing et, au détour de l’histoire, la découverte d’un fait divers unique : « L’Affaire Saint-Aubin ». Le livre sans concession d’un homme sans concession. Requiem pour une cause perdue : quand les morts n’enterrent pas les morts.En mai 1958, il entre au Comité de Salut Public d’Ajaccio et crée d’autres comités dans l’île. En 1961, il rallie l’OAS et organise l’action en Corse, tout en effectuant des missions en Algérie. En 1962, il est le patron de la branche action de l’OAS en Métropole. Arrêté en février 1963, il s’évade de la prison de Fresnes le 4 septembre suivant. Condamné à mort, il est repris le 8 avril 1965, et condamné deux fois à la réclusion criminelle à perpétuité et à d’autres peines pour son action dans l’OAS (exécution d’adversaires, attentats contre De Gaulle et Pompidou, plastiquages, émissions pirates, etc.). Le 15 juin 1968, il sortira de prison avec les dix derniers détenus de l’OAS et sera amnistié) la faveur des évènements de mai 1968 qui firent vaciller le Pouvoir.