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Les îles des princes

Pinguet Catherine
Date de parution 08/10/2013
EAN: 9782356140623
Disponibilité Disponible chez l'éditeur
Quatre îles de l'archipel (Burgaz, Kinali, Heybeli, Büyükada) sont habitées tout au long de l'année et quotidiennement desservie par les ferries, tandis que les cinq autres îles, de taille beaucoup plus réduite, sont quasi désertes. Selon le temps, c... Voir la description complète
Nom d'attributValeur d'attribut
Common books attribute
ÉditeurEMPREINTE TEMPS
Nombre de pages238
Langue du livrePas de contenu linguistique
AuteurPinguet Catherine
FormatPaperback / softback
Type de produitLivre
Date de parution08/10/2013
Poids3 g
Dimensions (épaisseur x largeur x hauteur)1,30 x 1,40 x 2,10 cm
Quatre îles de l'archipel (Burgaz, Kinali, Heybeli, Büyükada) sont habitées tout au long de l'année et quotidiennement desservie par les ferries, tandis que les cinq autres îles, de taille beaucoup plus réduite, sont quasi désertes. Selon le temps, clair ou brumeux, selon que soufflent les vents du sud-ouest ou du nord-est, ces îles paraissent tantôt étonnamment proches, tantôt à peine discernables. En cas de tempête et d'épais brouillard, elles sont coupées du monde et provisoirement inaccessibles. De nos jours, les Turcs les appellent simplement adalar (les îles) et les Européens disent toujours îles des Princes. Peu connaissent leur histoire, passionnante, comme l'est souvent celle des mondes insulaires. Par le passé, elles étaient connues sous le nom des îles des prêtres, ou encore des îles rouges, en raison de leurs nombreux monastères grecs orthodoxes et de la couleur de leur rivage. Parler des îles, retracer leur histoire, conduit à aborder les circonstances des départs successifs de Rum, mais aussi de Juifs et d'Arméniens. Quant aux toutes petites îles qui fascinaient Sait Faik, nous verrons que deux d'entre elles, que les Grecs comme les Turcs appellent la Plate et la Pointue, furent le théâtre d'événements singuliers au point qu'elles ont toujours la réputation de porter malheur.